Dans une carcasse de voiture, le corps sans vie d'un homme, décédé depuis plus d'un an, est retrouvé avec celui d'un chien à ses côtés, mort depuis trois mois à peine. Okutsu, un assistant social investi, décide de reconstituer la vie de ces deux compagnons jusqu'à leurs derniers instants, sans se douter que leur périple aura bouleversé les destinées de nombreux êtres, aussi bien humains que canins... Retrouvez cet émouvant récit de Takashi Murakami dans une édition intégrale enrichie, avec une couverture et un épilogue inédits.

Le chien gardien d'étoiles

Dans son nouvel ouvrage, l'artiste japonais Takashi Murakami reprend son travail sur le cercle enso, motif fondamental de la calligraphie japonaise, symbolisant le vide, l'unité et l'infini dans le bouddhisme zen. Le livre présente ainsi à la fois ses nouvelles peintures - dont certaines n'étaient qu'au stade de l'étude dans l'opus précédent -, dans lesquelles l'artiste utilise ses motifs récurrents (fleurs et têtes de mort, représentation de lui-même...), ainsi que de nouvelles images documentaires : nouvelles études, réalisation des tableaux dans son studio... Les peintures enso résultent d'une démarche calme, spirituelle. L'enso est le prérequis de tout acte artistique, un moment où l'esprit laisse au corps la liberté de création. Traditionnellement tracé au pinceau en un seul geste, à la fois spontané et maîtrisé, le cercle de l'enso ne permet aucun retour en arrière.

Enso

Après le remarqué 
Chien Gardien d'Étoiles, laissez-vous attendrir par 
L'Oiseau bleu, le nouveau recueil de Takashi Murakami !
Yuki Higashimoto est la plus heureuse des femmes : un mari aimant, Naoki, et un adorable garçon de 5 ans, Shu, la comblent de bonheur. Mais la sortie de route de la voiture qui les ramène d'un innocent pique-nique va sonner de manière cruelle et irrémédiable la fin de cette existence paisible...
 Le petit Shu ne survit pas à la violence du choc, et Naoki est plongé dans un coma végétatif. Pour
 Yuki, un long combat commence : comment reconstruire sa vie et préserver un lien avec un mari qui est présent sans l'être ?
 Dans ce manga post 11 mars 2011, l'auteur du remarqué 
Chien gardien d'étoiles évoque la difficulté de surmonter la perte d'un être cher. Famille, enfance, vieillesse, oubli, la plume poétique de Takashi Murakami parcourt délicatement le cycle de la vie et fait mouche en nous transmettant
 un formidable message d'espoir.

L'oiseau bleu

Enso présente la nouvelle série de peinture Takushi Murakami, qui relève d'un véritable tournant dans l'oeuvre de l'artiste japonais. La nouvelle série de peintures de Takashi Murakami se fonde sur l'un des motifs les plus importants de la calligraphie japonaise, le cecrle enso, qui symbolise le vide, l'unité et l'infini dans le bouddhisme Zen. Le minimalisme de la plupart de ces nouvelles peintures pourrait surprendre un public qui identifie l'oeuvre de Murakami au simple corpus des fleurs colorées et des monstres (séduisants). Pourtant, l'artiste peint depuis des années les grandes figures du bouddhisme zen : Daruma, connu comme le fondateur de l'école Zen ; le bras coupé du moine Eka, successeur de Daruma. Plus récemment encore, dans The 500 Arhats, une peinture de 100 mètres de long, Murakami représente les 500 sages ayant atteint l'illumination par la contemplation des éléments déchaînés. Ce tableau, qui marque un tournant radical de son travail, a été peint suite au tremblement de terre de 2011 au Japon. Les peintures enso résultent d'une démarche calme, spirituelle. L'enso est le prérequis de tout acte artistique, un moment où l'esprit laisse au corps la liberté de création. Traditionnellement tracé au pinceau en un seul geste, à la fois spontané et maîtrisé, le cercle de l'enso ne permet aucun retour en arrière. L'enso de Murakami est unique, formé à la peinture en bombe, par dessus ses accumulations emblématiques de fleurs ou de crânes. Ainsi tracé, le motif devient un hommage aux traditions japonaises et un retour à une pratique minimale, fruit d'une démarche à la fois artistique et spirituelle. Cet ouvrage livre à la fois les reproductions de cette nouvelle série ainsi que des images de la réalisation de ces oeuvres.

Dans ce tome 2, on se retrouve dans la vie d’avant, quand Happy, encore chiot, attendait un nouveau maître.On y retouve aussi le jeune garçon qui, dans le tome précédent, avait volé le portefeuille à « Papa », le maître de Happy. On y découvre sa vie d’avant, celle de son enfance – plus que difficile – durant laquelle il fut terriblement négligé par sa mère, dont le seul projet de vie était de passer d’amant en amant… une enfance bafouée, famélique, maltraitée…Il finit par s’enfuir et croit reconnaître Happy dans un parc...

Le chien gardien d'étoiles - Enfances (Le chien gardien d'étoiles, #2)

Takashi Murakami (村上 隆, Murakami Takashi), né en 1962 à Tokyo, est un artiste plasticien japonais.
En 2006, Christie's le classe 6e au classement des artistes les plus chers au monde. Il est considéré comme le digne successeur d'Andy Warhol.

New York est toujours la capitale de l'art - chaque fois que je suis à New York, je pense à la concurrence.

Les œuvres que j'ai faites au début de ma carrière reposent sur les thèmes de la guerre, de la puissance atomique et de l'espace.

Je suis immergé dans le manga depuis que je suis enfant. J'ai grandi avec cette culture. J'ai donc commencé à réfléchir à la façon de comparer les mangas à l'art contemporain.

Les galeries en Occident ont probablement recherché l'exotisme. C'est la raison pour laquelle mes peintures se vendaient initialement bien, je pense. Et puis une fois qu'ils ont commencé à vendre, les gens ont dit que mes œuvres étaient très détaillées. Ils ont peut-être représenté quelque chose de japonais.

Au Japon, je suis célèbre dans certains cercles spéciaux - principalement en tant que personne qui essaie de décomposer et d'éclairer les conventions de l'art japonais.

Le manga utilise des structures traditionnelles japonaises dans la façon d'enseigner l'élève et de transmettre un message très direct. Vous apprenez du professeur en regardant de derrière son dos. L'ensemble du maître-maître fait partie de la culture asiatique, je pense.

Ma propre croyance est que plutôt que de s'impliquer dans l'essayage de changer la réalité des choses sociales politiques, les créateurs peuvent être impliqués et exprimer de différentes manières et être significatifs de différentes manières, donc pour moi, il est important de laisser des messages aux gens des gens de L'avenir et être engagé avec les gens maintenant.

Je n'aime pas toujours la conservation, mais je crois que cela fait partie de mon travail. C'est un bon exercice pour mon cerveau, comme se réchauffer. Se concentrer sur mon travail serait tellement déprimant! Pour moi, la conservation est nécessaire - c'est comme un entraînement physique.

Si j'ai une certaine opinion, j'essaie d'incorporer cela dans mon travail.

Le concept du minimalisme est de se détendre. Comme un moine zen en formation, c'est quelque chose qui apporte l'équilibre au cœur. Je ne pense pas nécessairement qu'il a des problèmes, mais si je devais me forcer à n'en nommer un, je dirais que puisque le sentiment minimaliste inclut déjà son propre univers, je pense que cela pourrait tuer le lecteur que nous devrions autrement commettre le physiquement impossible et tenter de voyager dans l'espace.

Je suis toujours très intéressé par l'élevage. L'élévation des cactus est reproductrice. Ma collection de plantes Lotus est reproductrice. Les insectes se reproduisent.

Art contemporain et manga - Qu'est-ce qui en est la même chose? Rien, non? L'industrie des mangas a beaucoup de gens talentueux, mais l'art contemporain fonctionne sur un modèle solitaire. Personne ne se lance dans la collaboration dans l'art contemporain afin de gagner de l'argent. Mais dans le monde des mangas, tout le monde est investi dans la collaboration. Le point le plus important est que l'industrie des mangas encourage constamment de nouvelles créations et créateurs.

Pour les enfants de ma génération, l'anime était une évasion du complexe perdant japonais après la Seconde Guerre mondiale. L'anime n'était pas étranger. C'était le nôtre.

Je ne pense pas que ce soit une chose contre nature pour que mes collaborations ou projets soient considérés comme de l'art mais du divertissement en même temps.

Mon studio Miyoshi au Japon est situé dans la partie nord de Saitama, ce qui le met à proximité de Fukushima. En tant que tels, nous pouvons ressentir les effets du rayonnement.

Je suis immergé dans le manga depuis que je suis enfant. J'ai grandi avec cette culture.

Le thème que ma génération a exploré était la relation entre le capitalisme et l'art.

Mon père, Fukujuro, a conduit un taxi et ma mère, Ituko, était une femme au foyer. Mes parents m'ont souvent emmené voir des expositions impressionnistes. À la maison, je peignais des images dans un style similaire.

Quand je faisais mes débuts en tant qu'artiste, je sentais qu'il était très important d'essayer de combiner les antécédents de ma propre culture, de mon peuple et du pays dans le monde de l'art contemporain. C'est ainsi que j'ai trouvé le terme «superflat».

Au Japon, après avoir perdu la Seconde Guerre mondiale, la hiérarchie qui existait dans la société, des riches aux pauvres, a été aplatie, en particulier par les gagnants, par les Américains. En tant qu'artiste japonais qui fait ses débuts en Amérique, j'ai vraiment dû apporter ce genre de thème dans l'œuvre.

Mon sens esthétique a été formé à un jeune âge par ce qui m'a entouré: les espaces résidentiels étroits du Japon et les échappements mentaux de ces espaces qui ont pris les formes de manga et d'anime.

J'ai cessé de m'inquiéter de la compétition dans l'art contemporain. C'est un peu plus pur. C'est là que je suis, un pas en arrière.

Ma maman et mon père étaient un peu comme des parents de tigre. Je déteste ça, mais en même temps, je suis un peu fier.

Au Japon, je me concentre principalement sur l'envoi de messages via Twitter, en essayant de diffuser ma façon de penser minoritaire.

Je suis très triste d'être comparé à Warhol et à l'usine, parce que je n'ai pas de drogue, vous savez. Nous n'avons pas de culture de la drogue au Japon! C'est peut-être parce que notre attitude envers le travail est totalement différente.

Nous voulons voir les nouvelles choses. C'est parce que nous voulons voir l'avenir, ne serait-ce que momentanément. C'est le moment où, même si nous ne comprenons pas complètement ce que nous avons entretenu, nous en sommes néanmoins touchés. C'est ce que nous sommes venus appeler l'art.

Je cherche toujours des moyens de me connecter avec les gens américains et ce sentiment américain. J'essaie de prendre le sentiment des lieux, comme le sentiment de Los Angeles ou le sentiment de New York ... Los Angeles est bien meilleur pour moi de cette façon.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Takashi_Murakami

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