Oryx & Crake meets Douglas Coupland. An unforgettable vision of the future of America.

 Years from now America finds itself split between the rich and the poor. The haves live in luxury within the small regions that remain unpolluted while the have-nots inhabit a toxic suburbia full of terrorism, crime and genetic mutations.

 Perhaps not all that different from today then?

 They Is Us tells the story of one family from the poor side as they go about their daily lives. Julie has a job as a summer intern at an animal laboratory. She can't resist taking home the discarded mutants and her house is filled with genetic cast offs. Her mother, Murielle, has kicked out her stepfather and now, seemingly from nowhere, finds herself subject to the attentions of multi-millionaire businessman A. J. M. Bishrop. Bishrop is only dating Murielle because he wants to get Julie's underage sister Tahnee into bed.

 Just your typical American family story.

 Set against a backdrop of increasingly invasive technology, growing pollution and the President of the USA's impending gay marriage (to be broadcast live across the nation) They Is Us features a cast of unforgettable characters that will stick in your mind long after you finish the book.

 Tama Janowitz has written a prophetic novel which is funny, and frequently hilarious, but is so uncannily believable that it is chilling to read. This really could be the future.

They Is Us

In this darkly funny, surprising memoir, the original "Lit Girl" and author of the era-defining Slaves of New York considers her life in and outside of New York City, from the heyday of the 1980s to her life today in a tiny upstate town that proves that fact is always stranger than fiction. With the publication of her acclaimed short story collection Slaves of New York, Tama Janowitz was crowned the Lit Girl of New York. Celebrated in rarified literary and social circles, she was hailed, alongside Mark Lindquist, Bret Easton Ellis, and Jay McInerney, as one of the original "Brat Pack" writers-a wave of young minimalist authors whose wry, urbane sensibility captured the zeitgeist of the time, propelling them to the forefront of American culture. In Scream, her first memoir, Janowitz recalls the quirky literary world of young downtown New York in the go-go 1980s and reflects on her life today far away from the city indelible to her work. As in Slaves of New York and A Certain Age, Janowitz turns a critical eye towards life, this time her own, recounting the vagaries of fame and fortune as a writer devoted to her art. Here, too, is Tama as daughter, wife, and mother, wrestling with aging, loss, and angst, both adolescent (her daughter) and middle aged (her own) as she cares for a mother plagued by dementia, battles a brother who questions her choices, and endures the criticism of a surly teenager. Filled with a very real, very personal cast of characters, Scream is an intimate, scorching memoir rife with the humor, insight, and experience of a writer with a surgeon's eye for detail, and a skill for cutting straight to the strangest parts of life.

Scream - A Memoir of Glamour and Dysfunction

Pour découvrir l'âme de Big Apple et de ses quartiers, de Staten Island à Harlem, des Queens à Broklyn en passant par Soho, Chinatown, Central Park, à travers de nombreuses photos commentées par Paul Auster, Norman Mailer, Woody Allen... Avec une sélection d'hôtels, de restaurants, de musées, etc.

New York

Plus que tout autre ville au monde, New York est la cité des images : les ouvriers au sommet de gratte-ciel, le Queen Mary arrivant sur Manhattan, les joggers dans Central Park, les taxis jaunes sur la 5e Avenue... font désormais partie de notre mémoire collective. Avec plus de 800 photographies sur la ville la plus photogénique au monde, ce livre exprime toutes les facettes de New York : quartiers, cultures, ethnies, styles défilent sous nos yeux. On découvre ainsi le nouveau MoMA, on "écoute" du jazz dans Harlem, on visite les galeries de Chelsea, on prend un café dans Greenwich Village, on fait le tour des musées, parcs et restaurants, on va à Broadway, à Brooklyn, à Chinatown... Une introduction amusée et pleine d'esprit de la romancière américaine Tama Janowitz, des commentaires signés Paul Auster, Cecil Beaton, Duke Ellington, Martin Scorsese... ainsi qu'un index des meilleurs hôtels, restaurants et musées, font de ce livre-guide un incontournable sur la ville la plus dynamique du monde.

Une prostituée juive de bonne famine dont le souteneur occasionnel lit Heidegger ; une fille qui fabrique des bijoux en toc et vit avec un peintre sans clientèle ; une étudiante attardée partagée entre l'indigence et la sécurité d'un mariage ennuyeux ; des artistes plus ou moins manqués en quête de galeries, de collectionneurs, de mécènes, de compagnons ou de compagnes, d'appartements, d'ateliers ; toute une faune de personnages chamailleurs, fauchés et paumés, s'accouplant et se quittant au gré des rencontres, encombrés d'animaux, d'enfants à l'abandon, échafaudant des plans baroques, ébauchant des chimères au jour le jour, sont les héros dérisoires de ces nouvelles. Tous prisonniers de la grande ville inhumaine, étouffante, tous en proie, sans le dire, aux affres de la solitude. Tama Janowitz nous fait partager les ambitions confuses, les espoirs, les déboires, les succès éphémères de ces êtres désenchantés, déracinés, avec un humour acide, une ironie douce-amère, un sens aigu de l'absurde. Ces marionnettes pathétiques, ce sont les esclaves de New York.

Esclaves de New York

Je pense que les années 60 ont dû être très amusantes.

Peu importe Nirvana est le premier roman que j'ai lu qui rend la musique aussi importante que la nourriture, les vêtements de vêtements - une nouvelle torsion des millions pourra s'identifier - et la musique de la langue de Lindquist est un match parfait pour le sujet. Je pense qu'il est l'écrivain à regarder dans le nouveau millénaire.

Si vous voulez écrire sur une personne qui n'est pas gentille, les gens disent: "C'est un mauvais livre. Il s'agit de quelqu'un que je ne pouvais pas supporter." Mais ce n'est pas le point. Vous n'avez pas à aimer un personnage pour aimer un livre. La plupart du temps, les gens jugeaient mal et disaient: "Je n'aimais pas le livre." Non, vous n'aimiez pas le personnage. Cela ne le rend pas moins intéressant d'un livre. En fait, pour moi, cela le rend plus intéressant.

La renommée est vraiment géniale à bien des égards, vous savez? Les gens sont beaucoup plus gentils pour vous. Comme, plus vous êtes célèbre, plus vous obtenez de cadeaux gratuits. Et les invitations à des choses vraiment incroyables.

Que je sois extrêmement bien accueilli, que je vends des livres ou non - bien sûr, il devient progressivement plus difficile de les publier - néanmoins, c'est ce que je fais, chaque jour.

La majeure partie de ma vie est juste passée à coucher dans son lit. Je veux dire, c'est une pression suffisante pour écrire les mots. Dois-je utiliser l'énergie supplémentaire exercée en m'asseyant?

Je pense que c'est plus difficile d'écrire ce que c'est que d'être un enfant. Vous pouvez prétendre que vous savez ce que c'est, mais vous ne savez pas vraiment. Les seules parties dont je me souviennent, c'est que les adultes étaient comme: "N'est-ce pas mignon?" Mais quand vous êtes petit, vous regardez les autres enfants comme s'ils étaient vos collègues. Ils ne sont pas comme "Oh, nous sommes tous de petits enfants mignons." Ils sont plus comme vos connaissances de bureau. Il est très difficile de saisir les souvenirs de ce que c'était que d'être un enfant.

Les mauvais jours, je pense que j'aimerais être un chirurgien plasticien qui se rend dans les pays du tiers monde et opère sur des enfants dans des villages avec des avions de transport, puis je pense: `` Ouais, c'est vrai, je vais retourner à l'école de premier cycle Et prenez toute la biologie que j'ai manquée, puis allez à l'école de médecine. Non non.

Chaque livre que j'écris, les médias ne font que me frapper au visage.

Brownstein's est une voix fraîche et jaunty, avec un snap de jazz qui lui est propre.

J'écris ce que je veux écrire. Mais c'est presque un acte de rébellion de ma part. Parce qu'en tant que personne, j'ai toujours voulu être très sympathique, et je pense que c'est une chose horrible, en particulier pour les femmes. Tu es toujours comme, "Oh, j'espère que je n'ai blessé les sentiments de personne. J'espère qu'ils m'aiment!" Et c'est tellement stupide.

Je pense que les femmes puissantes ne se soucient pas de savoir si elles sont aimées ou non.

J'ai l'impression d'avoir en quelque sorte raté les années 80. À l'époque, nous ne savions pas que nous nous amusions, ce qui est probablement comme ça.

Crimes, péchés, cauchemars, heurts de cheveux: il était surprenant de voir combien d'entre eux ont quelque chose à éliminer. Plus je facturais, plus il était facile pour eux de respirer une fois de plus librement.

Que vous agissez ou que vous écriviez, votre peau est simplement arrachée et vous vous mettez là-bas. Au moins, la partie d'acteur est livrée avec un peu plus d'interaction sociale. Et vous êtes un peu moins isolé parce que vous travaillez avec le réalisateur et l'équipage, et il y a une camaraderie générale. Écriture, vous êtes totalement isolé. Vous essayez juste d'obtenir les mots sur papier.

Je sentais que toute ma vie était un fac-similé d'une vie.

Bien après la chute de la bombe et que vous et vos bonnes actions avez disparu, les cafards seront toujours là, rôdant les rues comme des voitures blindées.

Dans mon écriture, je voulais être aimé pour l'écriture de choses vraiment peu aimables. Il y avait des livres que les gens, en particulier les femmes, détestaient tellement. Ils ont dit: "Je l'ai jeté contre le mur!" Ce qui, à mon avis, était un compliment. Parce qu'il est très difficile d'amener quelqu'un à jeter quelque chose.

Le roman n'est jamais vraiment dans le premier projet. Le roman se produit vraiment dans les révisions.

Plus une femme vieillit, plus vous devenez invisible.

Je ne veux pas que mon roman soit comme Madame Bovary, finement conçu avec la vie éditée. Je veux que mon roman soit comme un ami qui me raconte une histoire - alors nous partons sur des pensées; c'est comme ça.

Si vous voulez être écrivain, tout ce dont vous avez besoin est un morceau de papier et un crayon, et j'avais une machine à écrire manuelle. Cela ne coûte pas d'argent pour écrire. Cela coûte de l'argent pour gagner de l'art. Alors j'écrivais. Je distribuerais des histoires dans les cours au lycée. Et le professeur disait: "Quoi que vous fassiez, ne devenez pas écrivain."

Je pense que c'est vrai que les gens sont maintenant plus proches de leurs parents, depuis les années 60, vraiment. Les parents ne sont plus d'une autre planète, les idées des années 1950 de la famille américaine. Nous pourrions être amis avec nos parents. Après les années 60, ce n'était pas comme si une personne fumait du pot était ce à quoi les parents seraient consternés.

J'étais comme un travailleur social pour les lépreux. Mes clients avaient un morceau de leur corps qu'ils voulaient donner; Pour un prix, j'étais là pour le recevoir.

Avec la publicité vient de l'humiliation.

Pourquoi voudrais-je lire quelque chose sur quelqu'un qui est juste une personne vraiment gentille et décente qui surmonte de terribles épreuves? Ce n'est pas comme ça que la vie est pour moi.

Je pense que à bien des égards, écrire, quand vous êtes vraiment là-dedans, c'est comme être une actrice parce que vous êtes dans la tête de quelqu'un d'autre.

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