C'est par cette confession percutante que Dana Lynn Yarboro débute le récit d'une enfance pas comme les autres au sein de la communauté afro-américaine d'Atlanta, dans les années 1980. Bien que née quatre mois avant sa demi-soeur Chaurisse, Dana est pourtant l'enfant illégitime, fruit d'une union illicite. L'une est un secret à qui James rend visite une fois par semaine tandis que l'autre mène une vie stable auprès de ses deux parents, inconsciente de son privilège. L'une sait, l'autre pas. Et lorsque leurs chemins respectifs finissent par se croiser, on assiste à la naissance d'une amitié vouée à exploser.

Des baisers parfum tabac

"Mon père, James Witherspoon, est bigame." C'est par cette confession percutante que débute le récit d'une enfance pas comme les autres au sein de la communauté afro-américaine d'Atlanta, dans les années 1980. Bien que née quatre mois avant sa demi-soeur Chaurisse, Dana est pourtant l'enfant illégitime, fruit d'une union illicite. L'une est un secret à qui James rend visite une fois par semaine tandis que l'autre mène une vie stable auprès de ses deux parents, inconsciente de son privilège. L'une sait, l'autre pas. Et lorsque leurs chemins respectifs finissent par se croiser, on assiste à la naissance d'une amitié vouée à exploser. Un texte éblouissant d'humanité.

« Mon père, James Witherspoon, est bigame. »C’est par cette confession percutante que Dana Lynn Yarboro débute le récit d’une enfance pas comme les autres au sein de la communauté afro-américaine d’Atlanta, dans les années 1980. Bien que née quatre mois avant sa demi-sœur Chaurisse, Dana est pourtant l’enfant illégitime, fruit d’une union illicite. L’une est un secret à qui James rend visite une fois par semaine tandis que l’autre mène une vie stable auprès de ses deux parents, inconsciente de son privilège. L’une sait, l’autre pas. Et lorsque leurs chemins respectifs finissent par se croiser, on assiste à la naissance d’une amitié vouée à exploser.À travers la stupéfiante histoire de la mystification d’un homme, de la complicité d’une famille et de deux sœurs, chacune tentant de trouver sa voie, Tayari Jones signe un texte éblouissant d'humanité. Si la colère, la jalousie et l’amertume hantent les pages de ce roman, elles débordent surtout d’amour. Ici pas de gagnants, juste des survivants, et un inoubliable portrait de famille sur trois générations, qui devient, au fil des ramifications, celui de tous les Noirs d'Amérique...

« Je n’étais pas du genre à penser que le sang suffisait à faire de nous des sœurs. Cependant, avoir partagé un père créait un lien qui s’enroulait autour de nos chevilles et ligotait nos poignets. »« Mon père, James Witherspoon, est bigame. » C’est par cette confession percutante que Dana Lynn Yarboro débute le récit d’une enfance pas comme les autres au sein de la communauté afro-américaine d’Atlanta, dans les années 1980. Bien que née quatre mois avant sa demi-sœur, Chaurisse, Dana est pourtant l’enfant illégitime, fruit d’une union illicite.L’une est un secret à qui James rend visite une fois par semaine tandis que l’autre mène une vie stable auprès de ses deux parents, inconsciente de son privilège. L’une sait, l’autre pas. Et lorsque leurs chemins respectifs finissent par se croiser, Dana laisse faire et assiste, impuissante, à la naissance d’une amitié pourtant vouée à exploser.Dans Des baisers parfum tabac, Tayari Jones nous livre la stupéfiante histoire de la mystification d’un homme, de la complicité d’une famille et de deux sœurs perdues au milieu, chacune tentant de trouver sa voie dans un château de cartes bâti sur le mensonge. Mais si la colère, la jalousie et l’amertume hantent ces pages, elles débordent surtout d’amour. Dans ce texte, pas de gagnants, juste des survivants, et un inoubliable et bouleversant portrait de famille se déployant sur trois générations, avec pour toile de fond la lutte pour les droits civiques et l’émancipation des femmes noires dans les États sudistes.

Un an et demi de bonheur… Roy et Celestial sont ce couple typique de la bourgeoisie afro-américaine d’Atlanta : un mari ambitieux, vissé à son ordinateur portable, et une épouse artiste, à l’aube d’une belle carrière.Il a suffi d’une méprise, d’une tragique méprise, pour que le rêve se brise en morceaux. Du mauvais endroit au mauvais moment. De la mauvaise couleur de peau.Injustement accusé de viol, Roy se voit condamné à douze ans de prison. Comment survivre à une vie volée ? Comment nourrir un amour que les murs, l’amertume et le temps corrompent à petit feu ? Et comment croire encore – pour le meilleur ou pour le pire – au rêve américain ?

Un mariage américain

An American Marriage, recording the damage done to a young black couple by the husbands wrongful jailing, wins the Womens Prize for Fiction 2019

AN AMERICAN MARRIAGE

Tayari Jones (née le 30 novembre 1970 à Atlanta) est une autrice et romancière américaine.

Je prends le mentorat très au sérieux et, par conséquent, je ne fais guère de travail pendant l'année scolaire.

Je pense que le NAACP n'est pas suffisamment reconnu pour tout le travail qu'il fait, en particulier dans le domaine du droit. Ils ont peut-être disparu de la vue au cours des deux dernières décennies, mais ils combattent le bon combat.

J'aime les noms simples pour mes personnages. Quand je suis trop symbolique avec les noms ou les lieux, je commence à me sentir comme les personnages et l'histoire est moins lue et je perds l'intérêt.

S'il y a jamais eu un moment pour faire bouillir des grains, c'est maintenant.

L'abandon n'a pas la piqûre aiguë mais dissipante d'une gifle. C'est comme un coup de poing dans l'intestin, meurtrissant votre peau et chassant l'air précieux de votre corps.

Le protagoniste des adolescents est l'une des caractéristiques de la littérature américaine.

Mon premier roman, `` Leaving Atlanta '', a jeté un regard sur ma ville natale à la fin des années 1970, lorsque la ville a été terrorisée par un meurtrier en série qui a laissé au moins 29 enfants afro-américains morts.

S'attarder sur la douleur, passer trop de temps à s'y immerger, goûter ses saveurs, doigter ses textures - cela le rend plus puissant.

Un trombone pourrait au mieux la capture, mais lorsqu'une femme vous empêche, choisir la serrure ne vous laissera pas rentrer.

Les familles secrètes sont vraiment la question du fondement de la littérature occidentale.

L'adolescence est une construction moderne et très américaine à bien des égards.

Quand j'écris une histoire, c'est aussi réel que la vie que je ressens hors de la page. C'est une illusion émotionnelle, je suppose.

En ce qui concerne les mémoires, nous voulons attraper l'auteur dans un mensonge. Lorsque nous lisons la fiction, nous voulons attraper l'auteur en disant la vérité.

Les gens disent, ce qui ne vous tue pas vous rend plus fort. Mais ils ont tort. Ce qui ne vous tue pas ne vous tue pas. C'est tout ce que vous obtenez. Parfois, il vous suffit d'espérer que cela suffit.

Neuf ans sous les débuts étincelants --- débordant d'amour et débordant de vie. Baltimore de Booker est à parts égales le fil et le spectacle Cosby. Elle ne se rétrécit pas des réalités de la vie dans un salon funéraire du centre-ville, mais elle est également un témoin aimant, documentant la communauté à cœur qui s'occupe de lui-même. Tris avec compassion, esprit et bonne histoire à l'ancienne, Sheri Booker nous donne des personnages inoubliables qui vous feront rire jusqu'à ce qu'ils vous brisent le cœur.

Cela ne me dérange pas d'exprimer mes opinions et de dénoncer l'injustice. Je ferais cela même si je n'étais pas écrivain. J'ai grandi dans un ménage qui croyait en la justice sociale. Je me suis toujours compris comme ayant l'obligation de se tenir debout du côté du silence, des opprimés et des maltraités.

Je ne suis ni religieux ni superstitieux, mais il y a quelque chose d'un autre monde dans l'espace où deux routes se réunissent. On dit que le diable s'y installe si vous voulez échanger votre âme contre quelque chose de plus utile. Si vous croyez que Dieu peut être soudoyé, c'est aussi le terrain sacré de faire des sacrifices. Au sens littéral, c'est aussi un endroit pour changer de direction, mais une fois que vous l'avez changé, vous êtes coincé jusqu'à ce que vous arriviez à un autre carrefour, et qui sait combien de temps cela durera.

Mon premier roman, quittant Atlanta, a jeté un coup d'œil à ma ville natale à la fin des années 1970, lorsque la ville a été terrorisée par un meurtrier en série qui a fait au moins 29 enfants afro-américains morts.

Lorsque vous écrivez un roman, vous faites voir d'autres personnes à voir vos amis imaginaires.

Je suppose que c'est comme ça que l'amour est quand il se défait. Peu importe à quel point vous tricotez les points, un tiraillement vif sur un fil lâche transformera votre pull chaud en un tas de fil mutilé que vous ne pouvez pas réutiliser ou réparer.

C'est drôle comment trois ou quatre notes de colère peuvent être frappées immédiatement, créant l'accord parfait de la fureur.

Et c'est comme ça que ça a commencé. Juste avec un café et l'échange de leurs longues histoires. L'amour peut être progressif. Les situations difficiles aussi. Le café peut commencer une vie comme il peut commencer une journée. C'était la rencontre de deux personnes destinées à s'aimer avant leur naissance, avant qu'elles ne fassent des choix qui compliqueraient leur vie. Cet amour vient de rouler vers ma mère comme si elle se tenait au pied d'une colline escarpée. Mère n'avait aucune part là-dedans, seulement le cœur.

J'étais une sorte de fille invisible quand j'étais jeune.

Je prends le mentorat très au sérieux et je suis au conseil d'administration d'une organisation appelée Girls Write Now, où nous assocons des filles adolescentes et écrivons des mentors parce que cela change leur vie.

J'exhorte toujours mes élèves à honorer leur pratique d'écriture, à mettre en place un horaire.

C'est ce que j'ai appris à savoir: notre passé n'est jamais passé et il n'y a rien de tel que de passer à autre chose. Mais il y a ce récit et il y a une chose telle que passer.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Tayari_Jones

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