Le christianisme n'est pas une loi de la servitude; Et s'il respecte la main de Dieu qui soulève parfois les tyrans, il se présente là où l'obéissance dégénère en lâcheté coupable.

Quant aux plaisirs légaux de l'esprit, du cœur ou des sens, se livrent en eux avec gratitude et modération, en train de se punir pour vous punir, sans attendre d'être forcé de le faire par nécessité.

Pour les chrétiens, le premier des livres est l'Évangile et le chapelet est en fait l'abrégagement de l'Évangile.

Le devoir est la plus grande des idées, car elle implique l'idée de Dieu, de l'âme, de la liberté, de la responsabilité, de l'immortalité.

Ce n'est pas du génie, ni de la gloire, ni de l'amour qui reflète la grandeur de l'âme humaine; c'est la gentillesse.

La vie intérieure est l'homme entier et forme toute la valeur de l'homme.

Les grands hommes de l'antiquité étaient pauvres.

Heureusement, et grâce à Dieu, il y a des orifices à travers lesquels notre vie intérieure s'échappe constamment, et l'âme, comme le sang, a ses pores. La bouche est le chef et avant tout de ces canaux qui mènent l'âme de son sanctuaire invisible; C'est par discours que l'homme communique la conversation secrète qui est sa vraie vie.

Comme chaque homme qui apparaît à une époque qui est historique et rendue célèbre par ses œuvres, Jésus-Christ a une histoire, une histoire que possède l'Église et le monde, et qui, entourée d'innombrables monuments commémoratifs, a au moins la même authenticité que tout D'autres histoires se sont formées dans les mêmes pays, au milieu des mêmes peuples et dans les mêmes moments. Comme, alors, si j'étudierais la vie de Brutus et Cassius, je devrais ouvrir calmement la plutarque, j'ouvre l'Évangile pour étudier Jésus-Christ, et je le fais avec le même sang-froid.

Dans les relations entre les riches et les forts, entre les riches et les pauvres, entre le maître et le serviteur, c'est la liberté qui s'accroche et la loi qui libère.

Ni le génie, ni la renommée, ni les amour ne montrent la grandeur de l'âme. Seule la gentillesse peut le faire.

Tournez vos yeux où vous voulez, entrez dans n'importe quel temple que vous s'il vous plaît, vous y trouverez sur la prophétie et le sacrement même du seuil ... quiconque méprise ces deux choses, se penche infailliblement vers la Terre, ne sachant rien de Dieu que son nom, et tenant Avec lui, aucune autre relation que l'ingratitude et l'oubli.

L'esprit voit, le testament commande, l'homme agit. Qu'est-ce que c'est alors d'agir? Agir, c'est produire quelque chose. Si vous n'avez rien produit - si aucun résultat n'a été le fruit de votre volonté, vous n'avez rien fait.

Rien ne blesse un ami comme un manque de confiance.

Le rapport entre l'homme et Dieu repose sur les vérités d'un autre ordre que celle de la raison, sur une lumière différente et plus élevée que celle qui éclaire naturellement a créé des intelligences.

Il n'y a rien de fructueux sauf le sacrifice.

Puisque Dieu est la fin de l'homme, puisqu'il nous a créés pour être parfaits et heureux en lui, il est manifeste que si les conceptions de la création n'ont pas été ici entièrement frustrées, il devrait y avoir des hommes qui tendent à la recherche de la recherche et aimer Dieu. Et néanmoins, en raison de la liberté humaine, il devrait également être trouvé d'autres hommes qui négligent Dieu, leur principe et leur fin, et céder à la séduction des choses créées. Tel est en effet le spectacle que l'histoire du monde nous présente sans cesse.

Seules trois choses sont nécessaires pour rendre la vie heureuse: la bénédiction de Dieu, des livres et un ami.

Partout où Dieu est adoré, il est adoré en vertu d'une doctrine surnaturelle; Partout où il est méprisé, il est méprisé au nom de la nature et de la raison.

Ce n'est pas une légère chose, messieurs, de forcer un homme à dire ce qu'il est, ou ce qu'il croit être; Pour cette parole suprême de l'homme, cette seule expression qu'il prononce et sur lui-même est décisive. Il pose la base sur laquelle tout le jugement de lui doit être formé. À partir de ce moment, tous les actes de sa vie doivent correspondre à la réponse donnée par lui.

L'univers nous montre la vie de Dieu, ou plutôt c'est en soi la vie de Dieu. Nous y voyons son action permanente, la scène sur laquelle son pouvoir est exercé et dans lequel tous ses attributs sont reflétés. Dieu n'est pas plus hors de l'univers que l'univers n'est hors de Dieu. Dieu est le principe, l'univers est la conséquence, mais une conséquence nécessaire, sans laquelle le principe serait inerte, inébranlable, impossible à concevoir.

L'Église avait les mots raison et liberté sur ses lèvres lorsque les droits inaliénables de la race humaine étaient menacés de naufrage.

L'amour est le début, le milieu et la fin de tout.

Vous m'avez vu vaciller entre l'erreur et la vérité, les aimant également parce que incapables de distinguer les uns de l'autre; L'heure marquée par Dieu pour mes Lumières est venue: il m'a montré l'impuissance de la raison et la nécessité de la foi.

Après le discours, le silence est le plus grand pouvoir du monde.

La véritable excellence et l'humilité ne sont pas incompatibles avec les autres, au contraire, ce sont des sœurs jumelles.

Ses oeuvres