Theodore Parker, né le 24 août 1810 à Lexington (Massachusetts) et mort le 10 mai 1860 à Florence, est un théologien américain, ministre du culte transcendantaliste de l'Église unitarienne, réformiste et abolitionniste dont les discours et les écrits inspirèrent Abraham Lincoln et Martin Luther King.

Le silence est une figure de la parole, sans réponse, courte, froide, mais terriblement sévère.

La vérité n'est jamais encore morte dans les rues; Il a une telle affinité avec l'âme de l'homme, la semence, mais la diffusion, elle attrapera quelque part et en produira un cendre.

Aucune vertu ne s'estompe de l'humanité. Pas trop lourde par le tempérament inné, prudent par une longue expérience, je ne désespère pas encore de la vertu humaine.

L'esprit a sa place dans le débat; En controverse, c'est une arme légitime, offensive et défensive.

Un mariage heureux est une longue période d'amour.

L'union des hommes dans de grandes masses est indispensable au développement et à la croissance rapide des facultés supérieures des hommes. Les villes ont toujours été les cheminées de la civilisation, d'où la lumière et la chaleur rayonnaient dans le monde froid sombre.

Je ne prétends pas comprendre l'univers moral; L'arc est long. . . . Mais d'après ce que je vois, je suis sûr qu'il se plie vers la justice.

L'humanité ne perd jamais de bonne chose, physique, intellectuelle ou morale, jusqu'à ce qu'elle trouve un meilleur, puis la perte est un gain. Aucun pas en arrière n'est la règle de l'histoire humaine. Ce qui est gagné par un homme est investi dans tous les hommes et est un investissement permanent pour toujours.

L'homme ne tombe jamais si bas qu'il ne peut voir rien de plus que lui.

L'adhérence, affamant le corps de son frère, affame également sa propre âme, et à la mort se retire de son grand domaine d'injustice, pauvre et nue et misérable

Il n'y a pas d'intercesseur, d'ange, de médiateur, entre l'homme et Dieu; Car l'homme peut parler et Dieu entend, chacun pour lui-même. Il n'a pas besoin de défenseurs pour plaider pour les hommes.

Il est vain de faire confiance à mal; Autant de mal, tant de pertes, est la formule de l'histoire humaine.

Les livres qui vous aident le plus sont ceux qui vous font le plus réfléchir.

La déception est souvent le sel de la vie.

L'amour de la vérité bénira l'amant tous ses jours; Pourtant, quand il la ramène à la maison, sa mariée au visage équitable, elle vient les mains vides à sa porte, elle-même sa seule dot.

Il est très triste pour un homme de se faire serviteur à une seule chose; Sa virilité toutes retirées de lui par la pression hydraulique des affaires excessives.

Ce qui s'appelle la libéralité n'est souvent rien de plus que la vanité de donner.

Je ne prétends pas comprendre l'univers moral; L'arc est long, mon œil n'atteint que peu de façons; Je ne peux pas calculer la courbe et compléter la figure par l'expérience de la vue, je peux la diviser par conscience. Et d'après ce que je vois, je suis sûr qu'il se plie vers la justice.

La politique est la science des urgences.

Il n'y a pas de collège pour la conscience.

Le diamant qui brille dans la couronne du Sauveur brûlera enfin dans une beauté incendiée sur le front de chaque âme humaine.

Ne violez jamais le caractère sacré de votre respect de soi individuel.

Je ne demande pas de poussière ressuscité pour m'apprendre l'immortalité; Je suis conscient de la vie éternelle.

Ce n'est pas de la grande atelier surpeuplé de la prospérité que les hommes d'abord ou de plus clairs voient les étoiles éternelles du ciel.

Le jugement extérieur échoue souvent, le jugement intérieur jamais.

Laissez les autres rire lorsque vous sacrifiez le désir de devoir, s'ils le font. Vous avez le temps et l'éternité pour vous réjouir.

Appliquer le bon sens à la religion et à la religion à la vie. C'est le domaine dans lequel je conçois le travail

https://fr.wikipedia.org/wiki/Theodore_Parker

Ses oeuvres