The Big Problem of Small Change offers the first credible and analytically sound explanation of how a problem that dogged monetary authorities for hundreds of years was finally solved. Two leading economists, Thomas Sargent and Francois Velde, examine the evolution of Western European economies through the lens of one of the classic problems of monetary history--the recurring scarcity and depreciation of small change. Through penetrating and clearly worded analysis, they tell the story of how monetary technologies, doctrines, and practices evolved from 1300 to 1850; of how the "standard formula" was devised to address an age-old dilemma without causing inflation. One big problem had long plagued commodity money (that is, money literally worth its weight in gold): governments were hard-pressed to provide a steady supply of small change because of its high costs of production. The ensuing shortages hampered trade and, paradoxically, resulted in inflation and depreciation of small change.
After centuries of technological progress that limited counterfeiting, in the nineteenth century governments replaced the small change in use until then with fiat money (money not literally equal to the value claimed for it)--ensuring a secure flow of small change. But this was not all. By solving this problem, suggest Sargent and Velde, modern European states laid the intellectual and practical basis for the diverse forms of money that make the world go round today. This keenly argued, richly imaginative, and attractively illustrated study presents a comprehensive history and theory of small change. The authors skillfully convey the intuition that underlies their rigorous analysis. All those intrigued by monetary history will recognize this book for the standard that it is.

The big problem of small change

La première réponse et la plus optimiste a été des attentes rationnelles complètes économétriques. Un équilibre des attentes rationnelles est une fonction de vraisemblance. Maximisez-le.

Lorsque j'étais étudiant diplômé, l'estimation et l'interprétation des décalages distribués ont dépassé l'ordre du jour des macroéconomiques et d'autres économistes appliqués.

Il y avait un danger que les sceptiques et les adversaires lisent mal ces tests de rapport de vraisemblance comme refus d'une classe entière de modèles, ce qu'ils ne l'étaient pas.

Je pense que vous devez faire attention à quiconque au lycée qui dit qu'il veut devenir économiste.

Dans les années 1980, il y a eu des occasions où il était logique de dire: «Il est trop difficile de maximiser la fonction de vraisemblance, et en plus si nous le faisons, cela soufflera notre modèle hors de l'eau».

Dans les années 1980, il y a eu des occasions où il était logique de dire: «Il est trop difficile de maximiser la fonction de vraisemblance, et en plus si nous le faisons, cela soufflera notre modèle hors de l'eau.

Je n'étais pas l'enfant le plus brillant, pas à long terme. Je m'intéressais au football, aux filles, à faire mon travail avec le moins d'efforts.

Keynes était un très bon économiste. Il était brillant. Il avait des idées merveilleuses. Son travail m'a inspiré plusieurs fois.

Ce que je n'aime vraiment pas, c'est la simplification excessive.

Lucas a assisté à une conférence sur les attentes rationnelles à l'Université du Minnesota au printemps 1973. Le lendemain de la conférence, j'ai reçu un appel de Pittsburgh.

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