Ce n'est que lorsque nous cessons de tenir les autres responsables de tous nos problèmes que nous pouvons vraiment être libres.

Nous pardonnons, si nous sommes sages, non pas pour l'autre personne, mais pour nous-mêmes. Nous pardonnons, non pour effacer un mal, mais pour soulager le résidu du mal qui est vivant en nous. Nous pardonnons parce que c'est moins douloureux que de s'accrocher au ressentiment. Nous pardonnons parce que sans lui, nous nous condamnons à répéter sans fin le traumatisme ou la situation même qui nous a fait du mal. Nous pardonnons car en fin de compte, c'est l'action la plus intelligente à prendre en compte. Nous pardonnons parce qu'il nous rétablit un sentiment d'équilibre intérieur.

Le retrait neuronal vient alors que nous entrons et soutenons de nouveaux types de relations qui nous permettent de réactiver nos impressions sensorielles lentement et au fil du temps.

La souffrance est pour le cœur et l'âme car les larmes sont aux yeux, nettoyant et expulsant la toxicité du système intérieur. Lorsque nous ne nous permettons pas de ressentir une douleur appropriée, nous passons à une sorte de non-expérience. Nous regardons la vie plutôt que de le vivre; Nous regardons mais ne nous rapprochons jamais.

Par-dessus tout, la colère doit être ressentie pour pouvoir être exprimée, comprise et intégrée, plutôt que mise en scène. De cette façon, il purifie le moi.

La honte est le sable mouvant sur le chemin de l'âme.

Notre système limbique donne le ton émotionnel de l'esprit et stocke nos souvenirs émotionnels très chargés.

La famille est à la fois mystère et réalité; Il abrite notre corps et nos esprits.

Accumuler des années dans l'acte de vivre n'est pas une garantie de maturité. En effet, il est possible de naître, de vieillir et de mourir sans jamais mûrir.

Toute la sagesse du monde ne peut pas mettre dans son cœur l'amour un aspirant en tant que petit enfant.

Il n'y a pas de sagesse sans maîtrise sur le mystère de notre monde interne, le monde qui ouvre la porte à comprendre les autres.

Nous vivons dans une culture qui se pose à la vitesse des machines. Nous essayons comme de bons petits robots pour correspondre à notre vitesse avec la leur. Les humains ne peuvent pas se déplacer au même rythme que les machines. Lorsque nous essayons, nous perdons le contact avec notre propre humanité.

Une partie de ce qui rend une situation traumatisante n'est pas en parler. La parole réduit les symptômes de traumatisme. Lorsque nous ne parlons pas de traumatisme, nous restons émotionnellement analphabètes. Nos sentiments les plus puissants ne sont pas nommés sans parler.

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