In the span of four months in 2012, Tig Notaro was hospitalized for a debilitating intestinal disease called C. diff, her mother unexpectedly died, she went through a breakup, and then she was diagnosed with bilateral breast cancer. Hit with this devastating barrage, Tig took her grief onstage. Days after receiving her cancer diagnosis, she broke new comedic ground, opening an unvarnished set with the words: 'Good evening. Hello. I have cancer. How are you? Hi, how are you? Is everybody having a good time? I have cancer.' The set instantly went viral, and was ultimately released as Tig's sophomore album, Live, which sold one hundred thousand units in just six weeks and was later nominated for a Grammy. Now, the wildly popular star takes stock of that no good, very bad year - a difficult yet astonishing period in which tragedy turned into absurdity and despair transformed into joy. An inspired combination of the deadpan silliness of her comedy and the open-hearted vulnerability that has emerged in the wake of that dire time, I'm Just a Person is a moving and often hilarious look at this very brave, very funny woman's journey into the darkness and her thrilling return from it.

I'm Just a Person - My year of death, cancer and epiphany

Mathilde O'Callaghan Notaro, dite Tig Notaro, née le 24 mars 1971 à Jackson dans le Mississippi, est une humoriste, actrice, scénariste, productrice et réalisatrice américaine.

Je ne prospère pas moi-même sur la misère. Je veux dire, j'ai évidemment créé pendant une période de misère, mais je crée aussi à partir d'un lieu de joie.

Je ne veux pas me prendre trop au sérieux, pensant que je dois toujours être cette personne cathartique, intense et profonde, parce que j'aime certainement la bêtise.

Si quelqu'un ne veut pas que je travaille son club, il n'entendra plus de moi. Je ne vais pas me battre ou m'en plaindre. Je préfère aller ailleurs.

Je vais ressembler à un Egomaniac, mais je suis fier de tant de choses. Je suis fier de mon livre, «Je suis juste une personne», fier de mon spécial HBO. Je suis fier de beaucoup de choses.

La réponse drôle à «One Mississippi» continue d'être que les gens ne savent pas ce qui est vrai et ce qui est la fiction.

Je ne suis pas opposé à parler de la nourriture des compagnies aériennes.

Les gens se plaignent des comédiens hollywoodiens, mais j'ai l'impression d'avoir sélectionné un groupe formidable, ceux qui ne sont pas obsédés par la renommée.

Je commence à pleurer lorsque certaines choses arrivent, certains souvenirs, certains sentiments et c'est intense. Mais je pense que c'est bon pour moi - et thérapeutique.

Même en perdant ma mère, je voulais ma mère. C'est ce que vous voulez instinctivement lorsque vous avez du mal.

Heureusement, je ne suis pas un joueur ou un buveur ou - vous savez, je reçois ma solution de comédie.

Il y a certainement eu des moments dans ma vie, même récemment, où j'ai pris des risques ou parlé de quelque chose où je ne sais pas comment ça va aller, mais c'est vrai, ou c'est ma vérité. C'est un peu cette vie de confiance.

C'est presque embarrassant de mon soutien. Je veux dire, je dis toujours aux gens que j'ai l'impression d'être parfaitement mis en place pour avoir un cancer. J'ai une excellente assurance maladie, j'ai un compte d'épargne. J'ai du travail aligné. J'ai des amis et de la famille. J'ai les meilleurs médecins que je puisse obtenir.

J'ai eu un fantasme en cours sur le fait d'être interviewé, comme, un spectacle de type '0 minutes '' à propos de cette femme vraiment inspirante qui peut tout faire avec une fausse jambe. Et puis la caméra se déroule, et je tiens juste une jambe de mannequin.

L'une de mes chansons préférées est «Ghost» par Indigo Girls. Emily Saliers l'a écrit, et elle est l'une des auteurs-compositeurs les plus talentueuses de tous les temps.

J'essaie de ne pas regarder mes anciens trucs ou mes nouveaux trucs, vraiment. Je ne suis pas fan.

Je parlais et jouais à des farces et je sautais à l'école, échouant à peu près tous les cours que j'ai suivis.

Quand je ne pouvais pas avoir une prise de cigarettes, je roulerais du marc de café dans le papier à saisir et de fumer, puis de vomir.

Je me demande toujours, à part même mon nom, et si mes parents ne se sont jamais séparés? Et si ma mère ne mourait jamais? Cela tourbillonne dans ma tête tout le temps.

J'ai travaillé dans les restaurants et les cafés et le baby-sitting et tout ce que je pouvais faire pour gagner de l'argent.

Ma chose préférée à porter de la première à la troisième année était un t-shirt bleu avec un singe en fer et la légende «voici des ennuis».

Je ne voulais pas simplement être celui qui regardait toujours les membres de la famille étranges. Je voulais faire mes erreurs.

J'ai l'impression d'être la personne la plus optimiste que vous puissiez rencontrer.

Il est important que lorsque vous faites le stand-up, vous faites de petits endroits comme les cafés et aussi de grands endroits comme les collèges. Il vous aide à trouver les petites nuances de votre ensemble qui ne fonctionnent pas, et vous pouvez raser l'excès.

Je suis fasciné par les bouddhistes de caddy qui apparaissent partout à Hollywood et les gens qui se prennent trop au sérieux.

Beaucoup d'humoristes ont mauvaise réputation lorsqu'ils ont des enfants et qu'ils ne parlent que de ça, et les gens se disent : "Je ne veux pas entendre parler de vos enfants ! Je leur réponds : "Préparez-vous. C'est tout ce dont je vais parler".

Le stand-up est des traits très larges, une sorte de squelette d'une histoire ou quelque chose.

Quand on m'a demandé un autographe pour la première fois, je me sentais tellement mal à l'aise que je viens d'écrire: «l'autographe de Tig», et à partir de ce moment, c'est ce que j'écris lorsque je signe mon nom.

Il y a quelque chose de bien plus conscient de la conscience de soi où des caméras arrivent pour des gros plans. Cela vous fait très conscience.

J'ai eu ma première guitare quand j'avais neuf ans parce que je voulais être le cinquième Beatle, même s'ils avaient déjà rompu et que John Lennon est mort cette année-là.

Ses oeuvres