Molecular Biology of the Cell. The Problems Book

Molecular biology of the cell - A problems approach, 4th Edition

Sir Richard Timothy Hunt ou Tim Hunt (né le 19 février 1943 à Neston in the Wirral, près de Liverpool) est un biochimiste britannique. Conjointement avec Sir Paul M. Nurse et Leland H. Hartwell il reçut le prix Nobel de physiologie ou médecine en 2001 pour ses travaux sur la régulation du cycle cellulaire par les cyclines et les protéine-kinases cycline-dépendantes (Cdk).

Mon éducation a commencé avec le latin enseigné à la maison par une gouvernante, je ne peux pas imaginer pourquoi, et pour une raison quelconque, j'ai fréquenté le département des nourrissons de l'Oxford High School for Girls avant de déménager à l'école Dragon à l'âge de 8 ans.

À l'âge de 14 ans, j'ai déménagé à travers la ville à l'école du Magdalen College, Oxford, où les sciences ont joué un rôle beaucoup plus important dans le programme.

Tout le monde peut gagner le prix Nobel si le scientifique travaille dur sur son sujet de recherche.

D'après mon expérience, les moments "Eurêka" sont très, très rares. Il faut normalement plusieurs semaines d'expériences pour découvrir la vérité, même lorsque l'on a une idée assez précise de ce qui se passe.

J'avais espéré faire beaucoup plus pour aider à promouvoir la science dans ce pays et en Europe, mais je ne vois pas comment cela peut se produire. Je suis devenu toxique. J'ai été accroché pour sécher par des instituts universitaires qui n'ont même pas pris la peine de me demander mon côté des affaires.

Mon introduction au contrôle du cycle cellulaire a été fournie par un séminaire clair, savant et beau donné par John Gerhart un après-midi de l'été 1979.

Si l'UCL a proposé de me rétablir, ce serait grossier de moi de refuser, mais vraiment, mon travail était fini.

Je ne me reconnais certainement pas comme l'horrible sexiste décrit dans les rapports des médias, et je ne pense pas que les femmes qui ont travaillé avec moi tout au long de ma carrière le font non plus.

Je suis extrêmement désolé pour les remarques faites lors du récent déjeuner des femmes en sciences à la Conférence mondiale des journalistes scientifiques à Séoul, en Corée.

Je suis tombé amoureux des gens du laboratoire, et les gens du laboratoire sont tombés amoureux de moi, et c'est très perturbateur pour la science parce qu'il est terriblement important que, dans un laboratoire, les gens soient sur un terrain de jeu.

Il est terriblement important que vous puissiez critiquer les idées des gens sans les critiquer, et s'ils fondent en larmes, cela signifie que vous avez tendance à vous empêcher de se rendre à la vérité absolue.

La science ne concerne rien d'autre que la vérité, et tout ce qui gêne cela diminue, d'après mon expérience, la science.

Je pense que les gens aiment les sciences fondamentales.

Je ne savais pas que je pouvais gagner le prix Nobel.

En 1968, j'ai quitté Cambridge et je suis allé travailler à New York avec Irving M. London, qui était alors président du département de médecine de l'Albert Einstein College of Medicine.

La meilleure réunion dans laquelle je suis allé a été une réunion en France où les créneaux de discussion durent 60 minutes, mais on vous a dit de préparer un discours de cinq minutes. C'était absolument génial parce que toute la conversation a été une conversation entre le haut-parleur et le public.

À l'automne 1961, je suis allé au Clare College Cambridge pour lire les sciences naturelles, avec l'intention de devenir biochimiste à la fin.

Vous ne voulez pas inhiber la division cellulaire. Vous voulez inhiber la division cellulaire dans les cellules cancéreuses, et même ce n'est pas vraiment là que vous voulez le faire. Vous voulez en fait détruire les cellules cancéreuses, ce qui est une question complètement différente. Le simple fait de les arrêter ne suffit pas - vous voulez vraiment les tuer.

La plupart des grandes avancées ont été une collaboration. C'est la joie de la science pour moi.

L'idée était d'étudier la fertilisation dans autant de phyla et d'organismes différents que possible, en utilisant l'équipement le plus simple possible et un microscope. Les approches biochimiques n'étaient pas beaucoup en vogue et les gels de course impossibles au début.

Dans ma propre carrière, j'ai toujours essayé de traiter mes collègues avec respect et gentillesse, qui qu'ils soient, et je suis fier d'avoir développé et encadré la carrière de nombreux excellents jeunes scientifiques qui s'attaqueront aux problèmes biologiques de demain longtemps après avoir quitté le scène.

Je suis impressionné par le développement économique de la Corée. Et les femmes scientifiques ont joué, sans aucun doute, un rôle important dans ce domaine.

Je suis intéressé par la façon dont les cellules savent ce qu'elles sont et comment elles devraient se comporter à leur place dans le corps.

La science consiste à appliquer ce que nous savons et à demander ce que nous ne savons pas.

Je me suis battu pendant sept ans pour avoir des installations de crèche à l'Institut d'Okinawa de science de la technologie - et j'ai finalement réussi. Les efforts ont été moins réussis pour obtenir une crèche au New Crick Institute à Londres, mais c'est quelque chose pour lequel je continuerai à faire pression.

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