Tom Wigley est un climatologue de l’université d'Adélaïde (Australie). Il travaille aussi en lien avec la University Corporation for Atmospheric Research (UCAR).

Si vous pensez que [le professeur de Yale James] Saiers est dans le camp des sceptiques de Greenhouse, alors, si nous pouvons trouver des preuves documentaires de cela, nous pourrions passer par les canaux officiels AGU pour le faire évincer.

Si vous regardez l'intrigue ci-jointe, vous verrez que le terrain montre également le blip des années 40 (comme je suis sûr que vous le savez). Donc, si nous pouvions réduire le blip océan, disons, 0,15 degc, alors cela serait important pour la moyenne mondiale - mais nous devions encore expliquer le blip terrestre.

Trois scénarios de réduction des émissions post-kyoto indiquent que ... les conséquences à long terme sont faibles ... l'influence du protocole serait, en outre, indétectable pendant de nombreuses décennies.

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