Tony Gilroy, né le 11 septembre 1956 à New York, est un scénariste et réalisateur américain.

J'étais, quand j'étais jeune, j'étais extrêmement régulier et très organisé.

J'aime les émotions, mais je n'aime vraiment pas la sentimentalité, et je n'aime pas quand les choses brisent leur sort.

Quand je commence quelque chose, je connais des gens avec qui je travaille, c'est un projet qui les intéresse.

Les sociétés sont comme les pays maintenant, il y a un roi, il y a des serfs, il y a un tribunal, pratiquement tout sauf des douves. Ce sont des sociétés féodales, et il y en a de bonnes et de mauvaises.

L'essentiel pour moi, c'est que j'aime vraiment les fins fortes. S'il y a une fin solide, vous pouvez prendre plus de temps au début, votre premier acte peut être vraiment très différent.

Différentes personnes travaillent différentes manières.

Je ne peux pas imaginer réaliser le script de quelqu'un d'autre.

Personne ne devrait se sentir désolé pour un scénariste réussi.

J'aime savoir où je suis dans des séquences d'action si je suis censé le faire.

J'adore l'idée des espions amoureux. Comment cela fonctionnerait-il entre deux personnes qui étaient si programmées pour mentir et se méfier, qui ont une vie entière basée sur des simulations?

Je ne me souviens pas avoir écrit quoi que ce soit avant d'avoir écrit ma candidature au collège.

Si vous y réfléchissez, le cinéma épisodique n'a pas été quelque chose que les gens ont vraiment fait.

La peur change tout. Nous sommes des animaux, et quand nous avons peur, nous agissons comme des animaux. Je n'en suis pas exempté.

J'ai travaillé pour beaucoup de réalisateurs.

L'écriture est vraiment difficile. Tu es seul. Il vous le retire vraiment. Vous le retirez de votre tête. Mais lorsque vous êtes directeur, vous magasinez - vous choisissez cet acteur, vous choisissez cette scène. C'est comme les achats cinétiques à grande vitesse les plus intenses de tous les temps. Vous vous asseyez sur une chaise et tout vient se précipiter sur vous comme une soufflerie.

J'aime les films qui pop, qui ont un peu de bonbons, cette liberté d'avoir un peu plus de plaisir, mais qui sont enracinées dans un comportement réel. Enraciné dans la cause et l'effet, sans violer la réalité.

Ce que vous devez savoir pour réaliser un film, c'est [d'une] si grande variété. J'ai travaillé avec des gens qui étaient Maestros, qui savent tout. J'ai travaillé avec des gens vides et perdus, qui n'avaient aucune idée de ce qu'ils faisaient. Vous ne les embaucheriez pas pour peindre votre appartement. Et puis il y a tout entre les deux. Il n'y a aucune liste de compétences à vous asseoir sur cette chaise.

Une inversion est juste tout ce qui est une surprise. C'est une façon de garder le public intéressé.

Je suis formé pour boutonner les scènes et arrondir les choses, et je suis récompensé pour avoir fait cela.

Les scénaristes que je connais partagent quelques traits de personnalité et l'un d'eux est l'anxiété.

Je passe beaucoup de temps dans une sorte d'état libre lorsque j'écris au début et à l'esquisse.

Une fois qu'un film coûte une certaine somme d'argent, les choses doivent s'arrêter.

L'ambiguïté diminue à mesure que votre budget augmente.

Vous changez ou vous cachez votre tête dans le sable.

Vous essayez juste de trouver quelque chose qui vous intéresse, et en particulier quelque chose qui vous intéresse qui vous consommera comme ces grands films vous mangent vraiment.

J'ai écrit un tas de scripts qui n'ont pas été produits, beaucoup plus tôt dans ma carrière que plus tard.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Tony_Gilroy

Ses oeuvres