La trilogie "Jim Chee" regroupe : Le Peuple des ténèbres, Le Vent sombre, La Voie du fantôme. Très belles ventes des volumes publiés individuellement : respectivement 17 000 ex, 61 000 ex et 44 000 ex.

La Trilogie Jim Chee - Le Peuple des ténèbres ; Le Vent sombre ; La Voie du fantôme

Réédition d'un classique (vendu à 34.000ex) du catalogue Rivages/noir : le cinquième opus des enquêtes du célèbre duo de flics Navajo, Leaphorn et Chee.  Une plongée passionnante dans l'univers des « native Americans » par un auteur qui a grandi parmi eux. « Tony Hillerman est un magicien redoutable et un poète de talent. » «Le Figaro littéraire»

Les clowns sacrés

Personne, décidément, ne semble s'intéresser au corps de cet homme mystérieusement retrouvé le long de la voie ferrée, au coeur des paysages désertiques de l'Arizona. Mais tandis que la police locale et le FBI rivalisent d'attentisme, le lieutenant Joe Leaphorn remonte patiemment une piste où s'entrecroisent terrorisme politique et terrorisme culturel. Et, au bout du voyage, dans les couloirs du musée d'histoire naturelle de Washington, il a rendez-vous avec son collègue Jim Chee...

Dieu-qui-parle

Alors qu'il s'ennuie quelque peu à la retraite, joe leaphorn reçoit la visite d'un vieux collègue, mel, qui lui annonce une nouvelle surprenante : il a reconnu, photographiée dans la demeure d'un nabab, la célèbre tapisserie qui perpétue le souvenir de la déportation des navajos par kit carson au dix-neuvième siècle, le chagrin entre les fils.
 Une oeuvre douloureuse, qui retrace un traumatisme collectif provoqué par l'avidité des blancs, doublée d'une épine dans la conscience des navajos, puisque cette tapisserie n'incite pas franchement au pardon.  mais le plus étonnant, c'est qu'elle avait été réduite en cendres vingt ans plus tôt dans un incendie oú fut retrouvé le corps d'un criminel très recherché par le fbi.  obligé de réveiller les fantômes du passé, leaphorn croise le chemin d'un redoutable - et très actuel - ennemi parmi " ceux-qui-changent-de-forme ".
 Dix-neuvième enquête en territoire indien, le chagrin entre les fils ramène au premier plan la figure légendaire de l'ex-lieutenant leaphorn.

Le chagrin entre les fils

Le lieutenant Jim Chee, appelé en renfort par un de ses subordonnés, découvre au sommet d'une mesa l'agent Kinsman, grièvement blessé. A ses côtés, un coupable tout désigné, un hopi venu braconner un aigle en vue d'une cérémonie religieuse. Par ailleurs, Joe Leaphorn est tiré de sa retraite pour retrouver Cathy Pollard, une spécialiste des vecteurs de transmission des maladies, qui a disparu alors qu'elle étudiait une colonie de chiens de prairie susceptibles d'être à l'origine d'un nouveau cas de peste bubonique. Elle se trouvait dans la même zone que Kinsman au moment de son agression...

Le Premier Aigle

Un patron de presse célèbre avait comparé le journaliste à " la mouche sur le mur " qui voit tout et entend tout, sans qu'on la remarque. John COTTON ne savait pas ce qu'avait vu et entendu Merrill MCDANIELS et si cela avait un rapport avec son cadavre dans la rotonde du capitole. Tout ce qu'il savait, c'est que MCDANIELS préparait un article " susceptible de tout faire sauter " et qu'il avait laissé des notes dans un carnet. En reprenant l'enquête, COTTON allait découvrir une affaire de corruption qui lui permettrait d'écrire l'article de sa vie, à moins qu'il ne signa son arrêt de mort.

Avec La Mouche sur le Mur, son deuxième roman après la voie de l'ennemi, Tony HILLERMAN abandonnait provisoirement la réserve JAVAJO pour les coulisses du pouvoir politique à Washington.

" Un livre provocant, qui vous met K.O. "
THE NEW YORKER

La mouche sur le mur

Moon

Coyote attend - Occasion

Tony Hillerman, né le 27 mai 1925 à Sacred Heart, Oklahoma et mort le 26 octobre 2008 à Albuquerque, Nouveau-Mexique, est un auteur américain de romans policiers ethnologiques et d'essais. La plupart de ses romans se passent dans la région des « Four Corners », (les quatre coins) à la frontière du Nouveau-Mexique et de l'Arizona : les protagonistes en sont Joe Leaphorn et Jim Chee (en) de la police tribale Navajo.

Vous écrivez pour deux personnes, vous-même et votre public, qui sont généralement mieux éduqués et du moins aussi intelligents.

Bien que je n'aie pas pu obtenir de visa pour le Vietnam, j'ai pu parler avec des vétérans du bateau rapide pour avoir une idée de l'époque et du lieu, et j'ai visité une prison tropicale aux Philippines pour avoir une idée de ce qu'est une prison vietnamienne. aurait pu être comme.

Je sais ce que j'écris semble exotique à beaucoup de gens, mais pas pour moi. Je me suis arrêté vers un ancien poste de trading et j'ai vu quelques Navajos âgés assis sur un banc. Je me sentais chez moi.

Les essais du Great Taos Bank Rabbery étaient mon projet pour remporter une maîtrise ès arts en anglais lorsque j'ai cessé d'être rédacteur en chef et je suis retourné à l'université.

J'ai toujours un ou deux, parfois plus, des éléments culturels de Navajo ou d'autres tribus à l'esprit lorsque je commence un complot. Dans Thief of Time, je voulais informer les lecteurs de l'attitude de Navajo envers les morts, le respect des sites de sépulture.

Le plus grand éloge qu'un écrivain puisse en donner un autre est de dire qu'il souhaite avoir écrit son livre. J'aurais aimé avoir écrit quarante mots pour le chagrin. Giles Blunt a un talent énorme. Si vous manquez quarante mots pour le chagrin, vous manquerez l'un des meilleurs romans de 2001.

La première loi du chapitre est: "Ne passez pas beaucoup de temps dessus. Vous allez devoir le réécrire."

Un écrivain est comme une dame de sac qui traverse la vie avec un sac et un bâton pointu qui collectionne des trucs.

Bien que je n'aie pas pu obtenir de visa pour le Vietnam, j'ai pu parler avec des vétérans du bateau rapide pour avoir une idée de l'époque et du lieu, et j'ai visité une prison tropicale aux Philippines pour avoir une idée de ce qu'une prison vietnamienne pourrait avoir. été comme.

D'où nous nous tenons, la pluie semble aléatoire. Si nous pouvions rester ailleurs, nous y verrions l'ordre.

Être indien n'est pas autant le sang que la culture.

Les pensées et les mots qui les jaillissent, plient la réalité de l'individu. Sortir de la mort, c'est l'inviter. Penser à la douleur, c'est le produire.

J'essaie toujours de faire en sorte que le cadre correspond à l'histoire que j'ai en tête.

Ayant grandi en Oklahoma quand c'était l'un des derniers États qui interdisait l'alcool, j'ai grandi avec la guerre contre la drogue, où chaque adolescent savait qui étaient les contrefaçons

J'essaie de faire en sorte que mes livres reflètent l'humanité tel que je le vois.

Les femmes sont des façonneurs extrêmement importants de ma propre vie.

Ayant grandi en Oklahoma quand c'était l'un des derniers États qui interdisait l'alcool, j'ai grandi avec la guerre contre la drogue, où chaque adolescent savait qui étaient les contrebandiers.

Tout est connecté. L'aile du scarabée de maïs affecte la direction du vent, la façon dont le sable dérive, la façon dont la lumière se reflète dans l'œil de l'homme en voyant sa réalité. Tout fait partie de la totalité, et dans cette totalité, l'homme trouve son Hozro, sa façon de marcher en harmonie, avec une beauté tout autour de lui.

J'ai 82 ans. J'imagine que je continuerai à écrire tant que quiconque veut continuer à lire.

Un auteur connaît le mieux son paysage; Il peut se tenir debout, sentir le vent, avoir une idée de sa place.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Tony_Hillerman

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