Excerpt from Les Derni�res Lettres de Jacques OrtisM. Julien Luchaire vient de faire para�tre une traduction admirablement eoeacte me dit - on et eetr�mement �l�gante, c'est moi qui le dis, des Derni�res lettres de Jacques Ortis, par Ugo Foscolo.Il l'a fait pr�c�der d'une solide, jolie et spiri tuelle �tude sur Ugo Foscolo.About the PublisherForgotten Books publishes hundreds of thousands of rare and classic books. Find more at www.forgottenbooks.comThis book is a reproduction of an important historical work. Forgotten Books uses state-of-the-art technology to digitally reconstruct the work, preserving the original format whilst repairing imperfections present in the aged copy. In rare cases, an imperfection in the original, such as a blemish or missing page, may be replicated in our edition. We do, however, repair the vast majority of imperfections successfully; any imperfections that remain are intentionally left to preserve the state of such historical works.

Les Dernières Lettres de Jacques Ortis

« Allora lessi le storie, e la più antica - antica tan­to che il genere umano era in sì tenui primordi, che quattro soli mortali regnavano sulla superficie del globo, Adamo, Eva, Caino, ed Abele. Ma la legge "di non fare agli altri ciò che non vorremmo che fosse fatto a noi" o non era legge di natura, o è da credere che fosse bambina; perché alle prime pagine vidi, che un fratello trucidò l'altro ». Nel settembre 1809 Ugo Foscolo tiene davanti agli studenti di legge a Pavia un'orazione che gli varrà la cacciata dall'insegnamento, perché - come scriveva un funzionario dell'epoca - « non aveva saputo conciliarsi (.) l'opinione de' professori e delle persone di provetto giudizio, attesi i paradossi letterari e morali di cui ha sparso i discorsi da lui recitati in alcune solenni occasioni ». Si trattava invece di un testo di autentica portata filosofica, da cui emerge una concezione dell'uomo e del progresso civile, che ancora oggi ci colpisce come un piccolo capolavoro del­la nostra prosa morale.

Sull’origine e i limiti della giustizia

Les DerniA]res lettres de Jacopo Ortis...Date de l'A(c)dition originale: 1819Ce livre est la reproduction fidA]le d'une oeuvre publiA(c)e avant 1920 et fait partie d'une collection de livres rA(c)imprimA(c)s A la demande A(c)ditA(c)e par Hachette Livre, dans le cadre d'un partenariat avec la BibliothA]que nationale de France, offrant l'opportunitA(c) d'accA(c)der A des ouvrages anciens et souvent rares issus des fonds patrimoniaux de la BnF.Les oeuvres faisant partie de cette collection ont A(c)tA(c) numA(c)risA(c)es par la BnF et sont prA(c)sentes sur Gallica, sa bibliothA]que numA(c)rique.En entreprenant de redonner vie A ces ouvrages au travers d'une collection de livres rA(c)imprimA(c)s A la demande, nous leur donnons la possibilitA(c) de rencontrer un public A(c)largi et participons A la transmission de connaissances et de savoirs parfois difficilement accessibles.Nous avons cherchA(c) A concilier la reproduction fidA]le d'un livre ancien A partir de sa version numA(c)risA(c)e avec le souci d'un confort de lecture optimal. Nous espA(c)rons que les ouvrages de cette nouvelle collection vous apporteront entiA]re satisfaction.Pour plus d'informations, rendez-vous sur www.hachettebnf.fr

L'idea del carme venne al poeta dall'estensione all'Italia, dell'editto napoleonicodi Saint-Cloud, che impose di seppellire i morti al di fuori delle mura cittadine. L'editto gli offrì l'occasione per svolgere una densa meditazione filosofica sulla mortee sul significato dell'agire umano.

DEI SEPOLCRI

Les dernières lettres de Jacopo Ortis

Niccolò Ugo Foscolo, né le 6 février 1778 sur l'île de Zante (alors dans la République de Venise, désormais en Grèce), mort le 10 septembre 1827 à Turnham Green, Londres, Angleterre, est un écrivain et poète italien.

Seule, la mort, à qui est confié le renouvellement sacré des choses, nous promet la paix.

Se repentir du passé, s'ennuyer du présent, craindre l'avenir : telle est la vie.

Là où la religion n'a pas pénétré les lois et les moeurs d'un peuple, l'administration des cultes n'est que boutique.

La gloire des grands hommes tient pour un quart à leur audace, pour deux quarts au hasard, pour le dernier quart à leurs crimes.

Les hommes, ne pouvant par leur seul effort acquérir l'estime d'autrui ni la leur propre, cherchent à la rehausser en opposant aux défauts de leurs voisins ceux que, par hasard, eux n'ont point.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Ugo_Foscolo

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