La vague d'immigration illégale de masse dans les pays de l'Union européenne affecte la vie de centaines de millions d'Européens. Nous consacrons ce livre à ce sujet explosif. Nous l'avons écrit avec mesure, brièveté et clarté ; nous avons pour but d'affronter l'omniprésente propagande des "pro- réfugiés". Nous sommes conscients du fait que nous vivons au milieu d'événements, lourds d'une dynamique puissante. Nous ne connaissons pas, et ne pouvons pas connaître exactement, les voies par lesquelles ils vont se poursuivre. Mais nous considérons de notre devoir à faire entendre une autre voix dans le bruit de la propagande actuelle. Nous avons évité les digressions trop exhaustives qui chargeraient exagérément le texte. Ses desseins ne sont pas une tentative pour alléger une problématique grave, mais un commentaire original sur la façon dont le débat (ou plutôt le non-débat) sur la crise migratoire est étouffé.

Migration des peuples - Bref manuel pour comprendre la crise migratoire actuelle

"Je suis favorable à la poursuite du processus d'intégration évolutive de l'Europe, naturelle et logique, fondée sur l'élimination de tous les obstacles inutiles qui nuisent à la libre circulation des gens et de leurs idées, des marchandises et des services, des monnaies et du capital.
Je suis pour la continuation du processus fondé sur une concurrence libre et non contrainte par des règles, des politiques et des lois entre les pays européens. Mais je suis opposé à l'unification, à l'homogénéisation et à la standardisation du continent, à son institutionnalisation bureaucratique. Je ne suis pas favorable à l'élimination des pays et leur remplacement par les structures de l'Union européenne, qui manquent singulièrement de la légitimité démocratique nécessaire.
Ce que je défends et recommande, c'est la coopération et l'amitié entre pays européens dans la mesure et la perfection les plus grandes possibles qu'on puisse imaginer".

L'Europe ?

Planète bleue en péril vert - Qu'est-ce qui est en danger aujourd'hui : le climat ou la liberté ?

Le message de [Fahernheit 9/11] est très faible et propagandiste ... nous avons été habitués à de tels messages à l'époque communiste. Tout le monde a des yeux ouverts et peut comprendre que c'est de la propagande. C'était un film faible qui ne nous dit rien de nouveau.

Les événements sur la place, bien sûr, ont fait une profonde impression sur moi et dans de nombreux autres parents.

La République tchèque est une partie importante de l'Europe centrale. Il est clair que nous devons participer à l'intégration européenne. Je suis convaincu que la République tchèque - ou, dans le passé, la Tchécoslovaquie - aurait été l'un des membres fondateurs de l'UE sans la prise de contrôle communiste en 1948.

La plus grande menace pour la liberté, la démocratie, l'économie de marché et la prospérité, n'est plus le socialisme. Il s'agit plutôt de l'idéologie ambitieuse, arrogante et sans scrupules de l'environnementalisme.

D'autres politiciens de haut niveau n'expriment pas leurs doutes sur le réchauffement climatique parce qu'un fouet de politiquement correct étrangle leur voix.

Néanmoins, il y a une autre menace à l'horizon. Je vois cette menace dans l'environnementalisme qui devient une nouvelle idéologie dominante, sinon une religion. Son arme principale est de stimuler l'alarme et de prédire le changement climatique en danger de la vie humaine en fonction du réchauffement climatique artificiel.

Des gens comme moi qui se livraient à la rupture avec les patrons économiques du parti et les dissidents ouverts qui étaient arrêtés poursuivaient un objectif commun de différentes manières.

En tant que personne qui a vécu sous le communisme pendant la majeure partie de ma vie, je me sens obligé de dire que la plus grande menace pour la liberté, la démocratie, l'économie de marché et la prospérité au début du 21e siècle n'est pas le communisme ou ses diverses variantes plus douces. Le communisme a été remplacé par la menace de l'environnementalisme ambitieux.

Nous avons siégé au comité de rédaction d'un mensuel littéraire appelé Face en 1968 et 1969. Il était un jeune écrivain, et je m'intéressais également aux grands problèmes culturels. Nous nous sommes mis d'accord sur toutes les principales questions et sommes devenus amis.

J'ai également aidé à rédiger la déclaration de principes de cinq pages publiée par le Forum civique fin novembre. C'était la première expression publique de ce que le nouveau gouvernement voulait faire.

Étant souvent avec de nombreux politiciens de premier plan, je me sens frustré de ne pas écouter. Ils savent déjà. Ils ont entièrement souscrit à l'idée que parler de «sauver la planète» est un moyen efficace de montrer leur `` soins '' pour l'humanité et que c'est le moyen le plus simple de maximiser les votes indépendamment de toute activité pertinente qui viserait les besoins réels des personnes . Le dogme du réchauffement climatique est devenu une forme très facile d'évasion de la réalité actuelle.

Je ne pense pas qu'il y ait un réchauffement climatique. Je ne vois pas les données statistiques pour cela.

Ma principale préoccupation est la dimension politique de l'intégration européenne. C'est l'une des questions les plus importantes de toutes, en ce qui me concerne. Cela a à voir avec notre passé, avec notre sensibilité, peut-être même notre hypersensibilité à cet égard.

La politique étrangère commune n'est pas totalement inutile. Les différents pays européens ont des priorités, des objectifs et des préjugés très différents. Il serait faux de les forcer tous à suivre le même cours.

J'ai été payé pour lire les textes économiques occidentaux. D'une certaine manière, le régime a payé leur propre sombre.

"Pas un corps scientifique capable d'évaluer avec précision les faits sur le réchauffement climatique".

Ce que l'on appelle de manière concise le réchauffement climatique, c'est une erreur mortelle de l'heure actuelle.

Le réchauffement climatique est un faux mythe et chaque personne sérieuse et scientifique le dit. Il n'est pas juste de se référer au panel des Nations Unies. Le GIEC n'est pas une institution scientifique: c'est un organisme politique, une sorte d'organisation non gouvernementale de la saveur verte. Ce n'est ni un forum de scientifiques neutres ni un groupe équilibré de scientifiques. Ces gens sont des scientifiques politisés qui y arrivent avec une opinion unilatérale et une mission unilatérale.

Les alarmistes du climat croient en leur propre toute la toute-puissance, en sachant mieux que des millions d'hommes et de femmes qui se comportent rationnellement, ce qui est bien ou mal, dans la possibilité de donner des instructions adéquates à des centaines de millions de personnes et d'institutions et la conformité ou la non-conformité qui en résulte de ceux-ci qui sont censés suivre ces instructions.

L'expansion de l'UE se poursuit malheureusement sans constitution, en tant que processus progressif de normalisation - et c'est beaucoup plus dangereux. Il est très difficile de ralentir ce processus, qui est poussé vers l'avant sans participation du public significative.

Je suis convaincu qu'après des années à étudier le phénomène, le réchauffement climatique n'est pas le véritable problème de la température. C'est la question d'une nouvelle idéologie ou d'une nouvelle religion. Une religion du changement climatique ou une religion de réchauffement climatique. Il s'agit d'une religion qui nous dit que les gens sont responsables de la très faible augmentation des températures. Et ils devraient être punis.

Vous ne pouvez pas avoir de responsabilité démocratique dans quelque chose de plus grand qu'un État-nation.

Ce que nous voulons, c'est établir les règles d'une économie de marché - pas pour planifier ses résultats.

L'UE n'a pas fait avancer notre démocratie [d'Europe de l'Est] d'un seul millimètre.

Et enfin, il y a un autre danger : l'émergence de « ismes » non idéologiques mais très agressifs, qui sont vraiment tout à fait nouveaux. Permettez-moi au moins de les nommer : nous nous soucions tous des droits de l'homme, mais j'ai peur du "droit de l'homme". Nous voulons tous avoir un environnement sain, mais je vois le danger de l'environnementalisme. Pour le dire politiquement correctement, j'admire le deuxième genre, mais je crains le féminisme. Nous sommes tous enrichis par d'autres cultures, mais pas par le multiculturalisme. Je suis conscient de l'importance des associations bénévoles, mais je crains l'ONGisme.

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