1945, dans un palace à Berlin. Poussés par le rationnement et les bombardements, tout ce que la ville compte de diplomates, de généraux, d'hommes d'affaires ou de héros du champ de bataille se retrouvent dans ce lieu au luxe suranné, comme dans un ultime refuge. La comédie humaine se poursuit jusqu'à l'absurde, et les dignitaires fatigués cherchent les étoiles qui pourraient continuer d'entretenir leurs rêves de victoire ; au milieu de tous ces hommes brillent Tilli, une femme facile mais désargentée, et Lisa Doorn, égérie du Führer pour qui la foule envahit encore chaque soir le théâtre.

C'est elle que va rencontrer Martin Richter, l'étudiant révolté, le téméraire opposant au régime, poursuivi par la Gestapo. Guidée par lui, elle va ouvrir les yeux sur la réalité et la barbarie du nazisme, puis l'aider dans sa folle aventure et sa fuite éperdue, jusqu'à succomber à son charme...
Tandis que les bombes font vaciller les vieux murs, l'étau se resserre autour de cet amour naissant, symbole de liberté en ce lieu où chacun règle ses comptes et s'apprête à acquitter le prix des exactions commises pendant la guerre.

Roman d'anticipation, le livre raconte avec un réalisme surprenant ce que personne, en Allemagne, n'aurait osé imaginer.

Hôtel Berlin 43

Un voyage époustouflant dans les traditions balinaises du début du siècle, teinté de permanence. Fascinée par des photographies de Bali, Vicky Baum y séjourna en 1935. Elle y fit la connaissance du docteur Fabius, qui lui légua à sa mort un coffret contenant des notes, son journal et un imposant manuscrit retraçant un épisode sanglant de la colonisation de Bali par les Hollandais : le Poupoutan (littéralement " la fin"). Grâce à tous ces documents, Vicki Baum écrivit en 1937 Sang et volupté à Bali, une saga historique située au coeur du quotidien des Balinais et de l'occupation néerlandaise du début du XXe siècle. Cherchant à étendre leur contrôle, les Hollandais décidèrent à l'époque de lancer une opération militaire, qui mena les habitants de l'île à un suicide collectif.

Sang et volupté à Bali

Here is a Berlin luxury hotel, like its famous prototype still crowded with fascinating guests but drastically changed under a war-torn Nazi regime. Headquarters of the Gestapo, home of international parasites, Nazi officials, and the elite of Hitler's Reich, is a microcosm of the brutality and hysterical fear raging behind the steel walls.

Berlin Hôtel

Vicki Baum's evocative historical novel recounts the lives of peasants and nobles in colonial Bali, reared against a backdrop of bloodshed and cultural invasion. Dutch imperialism brings upheaval and revolution to the beautiful island, and the Balinese rebel in what would become a powerful and poignant example of symbolic resistance. A Tale from Bali culminates with the historic Battle of Badung, in which thousands of Balinese soldiers, clothed in white and armed only with daggers, threw themselves upon the merciless efficiency of the Dutch guns.

Sang et volupte a bali

Shanghaï hôtel - Occasion

Vicki Baum, née Hedwig Baum le 24 janvier 1888 à Vienne et morte le 29 août 1960 à Hollywood, est une romancière américano-autrichienne.

Le succès est aussi froid et solitaire que le pôle Nord.

Celui qui ne bouge pas avec le temps est un homme mort

La renommée apporte toujours la solitude. Le succès est aussi froid et solitaire que le pôle Nord.

Je n'ai été à New York que quelques jours et je n'ai appris que deux mots de votre langue: l'un est une houle, et l'autre est moche. ... 'C'est une houle d'être avec vous et d'excuser, s'il vous plaît, mon anglais moche!

Le siège de la plus grande loyauté patriotique est dans l'estomac. Bien après avoir abandonné tout attachement au pays de sa naissance, le citoyen américain naturalisé tient rapidement à la nourriture de ses parents.

La patience fait partie intégrante du talent.

Le mariage exige toujours la plus grande compréhension de l'art de l'insincérité possible entre deux êtres humains.

Une femme qui est aimée a toujours du succès.

Il y a un besoin d'héroïsme dans la vie américaine aujourd'hui.

La gloire amène toujours la solitude. Le succès est aussi glacé et isolé que le pôle Nord.

Un écrivain devrait toujours avoir une profession qui le mette en contact étroit avec la réalité de la vie.

Lorsque nous sommes jeunes, nos parents gèrent notre vie; Quand nous vieillissons, nos enfants le font.

Je me lassais de tout le bruit et de la prévariation des heures volées et du Secret Rendez-Vous; des petites indignités et de larges inconfort qui font partie intégrante de l'adultère.

Les gens ne parlent pas de faim quand ils savent ce que c'est que d'avoir faim.

Il y a des raccourcis vers le bonheur, et la danse en fait partie.

Le pire sentiment que l'on puisse offrir à une femme est la pitié.

Les hommes ne font pas différentes erreurs à différentes périodes de leur vie. Ils font la même erreur encore et encore et ils paient un prix de plus en plus élevé.

Dans la grande ville, personne n'a le temps de se faire des amis. La grande ville est une grande solitude.

Pour moi, l'écriture n'est pas une profession. Vous pourriez aussi bien appeler vivre une profession. Ou avoir des enfants. Tout ce que vous ne pouvez pas vous empêcher de faire.

La perfection m'ennuie, dans l'art, en musique; Surtout, chez les gens. Heureusement, la perfection est rare.

Dommage est le sentiment le plus meurtrier qui peut être offert à une femme.

La chose la plus remarquable à propos d'Hollywood est qu'elle n'existe pas. ... Hollywood, en un mot, n'a pas de centre, n'a jamais eu, pas d'hôtel de ville, de palais de justice, d'église, de carré, ou plutôt il en a probablement certains, mais ils sont si sans but avec le fouillis général. . Que je ne les ai jamais trouvés.

Vous n'obtenez pas d'ulcères de ce que vous mangez. Vous les obtenez de ce qui vous mange.

Ses oeuvres

Ses derniers livres