Vikram Bhatt est un réalisateur, producteur et scénariste indien né le 27 janvier 1969 en Inde.

En fin de compte, c'est l'éducation, la conscience et les circonstances qui décident du chemin que vous choisissez.

Avant «Ghulam», il y avait «Fareb», qui a également réussi. Oui, «Ghulam» m'a valu la reconnaissance. Je n'ai pas changé de manière. Ce qui a changé, c'est la perception des gens de moi.

Il est difficile, très difficile de créer quelque chose de nouveau à chaque fois dans cet espace d'horreur et d'effrayer les gens à chaque fois.

Je suis une personne triste. Dans ce monde, il y a des gens qui aiment les notes majeures et les notes mineures. J'aime les notes mineures.

Je crois que le succès est un échec retardé.

Le Web offre un climat créatif dont les cinéastes ont envie.

Nous étions tous un, toutes les langues et toutes les personnes et tous les États. Nous sommes un pays et nous avons la liberté de parler dans n'importe quelle langue.

Je n'ai jamais caché ma relation et j'ai été appelé les pires noms du monde du showbiz.

À Hollywood, ils créent des banques de scripts, qu'ils soient utilisés ou non.

Je suis le genre de gars qui porte son cœur sur sa manche.

L'industrie cinématographique indienne ne croit pas à l'investissement des ressources financières dans les scripts.

J'avais l'habitude d'écrire des histoires sur Facebook, et les gens ont commencé à les lire, de 10 à 12 personnes au départ à des milliers de personnes plus tard.

Je crois fermement qu'il y a une force guidée qui agit sur moi et m'a aidé à devenir ce que je suis au fil des ans.

Si Madhur Bhandarkar fait un film demain, les gens s'attendront à ce qu'il fasse quelque chose comme «Chandni Bar» ou «Corporate! De même, il faut du temps aux cinéastes pour briser ce stéréotype et essayer quelque chose de nouveau - il est difficile pour les cinéastes d'être polyvalent à Bollywood.

J'ai eu la chance de voir une femme très glamour et belle se rapprocher et j'ai vu leurs peurs et leur insécurité.

La démocratie est-elle de vivre dans la peur? Est-ce pour cela que nos ancêtres ont combattu les Britanniques?

Je pense que le numérique est là pour rester. Il va éliminer les films à petit et moyen à petit budget, marquer mes mots.

Je crois toujours que lorsque vous n'êtes pas courageux, vous devenez rusé.

En 1943, mon grand-père, Shri Vijay Bhatt, a tourné un film du nom de «Ram Rajya».

Les tubes et les flops font partie intégrante des affaires de cinéma.

Vous savez, rien ne vient gratuitement. Si vous voulez poursuivre la renommée, la renommée a un prix. Vous ne pouvez pas obtenir de renommée pratique. Vous ne pouvez pas dire: «Hé! Je ne veux que les bonnes choses et pour les mauvaises choses que je fais, détournez le regard. Donc, si vous avez envie de projecteurs, vous payez pour les projecteurs.

Avec mes cheveux gris et mon bourreau de travail, je ne peux pas imaginer être chaud à quelque niveau que ce soit.

Quand j'ai commencé ma carrière, j'ai donné quatre flops, puis quatre coups sûrs, deux flops, deux coups sûrs, puis trois flops.

La différence entre la télévision, les films et le Web est que contrairement au premier, le second n'est pas une visualisation de rendez-vous. Vous décidez de l'heure à laquelle vous voulez regarder et de combien vous voulez regarder. Le Web est pour la visionneuse.

Je pense que jouer est ennuyeux parce que vous devez vous asseoir longtemps. Et en tant que réalisateur, j'ai l'habitude de courir et d'être occupé sur les plateaux. Je manque le logiciel d'acteur.

Twitter est un forum ouvert et il apporte la méchanceté des gens. Cela ne devrait pas être pris au sérieux car parfois c'est une chose sadique.

J'ai payé des choses que j'avais faites parce que j'ai été sous les projecteurs.

Je ne crois plus à l'institution du mariage. C'est redondant; C'est une institution obsolète. C'est comme des lanternes dans une maison, vous ne les utilisez plus.

Aftab a été singulièrement malheureux en amour.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Vikram_Bhatt

Ses oeuvres