This carefully crafted ebook: "The Autobiography of a Super-Tramp (The life of William Henry Davies)" is formatted for your eReader with a functional and detailed table of contents.
The Autobiography of a Super-Tramp is an autobiography  first published in 1908 by the Welsh poet and writer W. H. Davies. A large part of the book's subject matter describes the way of life of the tramp in United Kingdom, Canada and the United States in the final decade of the 19th century.
Table of Contents:
Childhood
Youth
Manhood
Brum
A Tramp's Summer Vacation
A Night's Ride
Law in America
A Prisoner His Own Judge
Berry Picking
The Cattleman's Office
A Strange Cattleman
Thieves
The Canal
The House-boat
A Lynching
The Camp
Home
Off Again
A Voice in the Dark
Hospitality
London
The Ark
Gridling
On the Downright
The Farmhouse
Rain and Poverty
False Hopes
On Tramp Again
A Day's Companion
The Fortune
Some Ways of Making a Living
At Last
Success
A House to Let
W. H. Davies (1871-1940) was a Welsh poet and writer. Davies spent a significant part of his life as a tramp or hobo, in the United Kingdom and United States, but became one of the most popular poets of his time. The principal themes in his work are the marvels of nature, observations about life's hardships, his own tramping adventures and the various characters he met.

The Autobiography of a Super-Tramp (The life of William Henry Davies)

J'ai tourné la tête et j'ai vu le vent, non loin de l'endroit où je me tenais, traînant le maïs par ses cheveux dorés, en un bois sombre et solitaire.

Oui, je passerai le jour du tout au long de la nature en cette mois Chantez de toutes leurs forces, comme s'ils ressentaient la terre en vol.

Plus une personne a dans son jardin, moins elle lui appartient.

J'aime voir un bon combat scientifique par des hommes qui connaissent l'utilisation de leurs mains mais qui préfèrent marcher vingt milles que de voir des animaux en conflit.

Le père et les frères de la mère se sont tous intéressés au pugilisme, et ils connaissaient bien le jeu de leur propre pratique. Ils n'ont jamais été aussi ravis que lorsque je leur ai rendu visite avec un œil au beurre noir ou un nez sanglant, moment où ils auraient la peine de donner des points rusés sur la façon de rencontrer un adversaire en fonction de son poids et de sa taille.

Cockneys font de bons mendiants. Ils sont tenus en haute estime par la fraternité en Amérique. Leur ressource, leur originalité et leur invention, et une langue sans falsification leur permettent souvent d'atteindre leurs extrémités là où les autres échouent, et ils réussissent là où les indigènes meurent de faim.

Et écoutez l'agréable cockoo, fort et long - Le simple oiseau qui pense deux notes par chanson.

Cela faisait maintenant environ cinq ans que j'étais aux États-Unis d'Amérique, travaillant ici et là au gré de mes envies, ce qui, je dois l'avouer, n'était pas souvent le cas. Je retirais certainement un certain plaisir de la vie, mais de temps en temps, la perte de temps me consternait, car j'ai toujours la conviction que je suis né pour une vie différente.

C'était une preuve de la bonne nature galloise: tant que j'avais un ami qui savait et pouvait me présenter, tout le Welsh ferait n'importe quoi pour divertir, et ne négligerait même leur entreprise de le faire. Mais en tant qu'étranger au Pays de Galles, il est difficile de percer leur suspicion et leur méfiance.

Cependant, un clochard peut être prudent pour éviter les endroits où il y a un travail abondant, il ne peut pas toujours réussir.

Quand j'avais de l'argent, de l'argent, O! Je ne connaissais pas de joie avant de devenir pauvre; Pour beaucoup, un faux homme en tant qu'ami est venu frapper toute la journée à ma porte.

C'était l'arc-en-ciel qui t'a donné naissance et t'a laissé toutes ses belles teintes.

Nous étions déterminés à être à la mode et à visiter les divers places d'eau délicieuses sur Long Island Sound. Bien sûr, il serait nécessaire de combiner les affaires avec plaisir et de poursuivre notre appel en tant que mendiants.

Étant de cette belle humeur, j'ai parlé à un petit garçon, que j'ai vu jouer seul dans la rue, lui demandant ce qu'il allait être quand il serait grand. Bien sûr, je m'attendais à l'entendre dire un marin, un soldat, un chasseur, ou quelque chose d'autre qui semble héroïque à l'enfance, et j'ai été très surpris quand il a répondu innocemment : « Un homme.

Mon impression des Américains depuis le début est des meilleurs, et je n'ai jamais eu de cause pour modifier mon esprit. Ils sont une race gentille et sympathique de personnes et naturellement fier de leur pays.

Maintenant, dois-je marcher ou vais-je rouler? «Roule», dit le plaisir; «Marche», répondit Joy.

Mais les chats pour moi sont étranges, si étranges que je ne peux pas dormir si l'on est proche.

Les teetotallers n'ont pas la sympathie et la générosité des hommes qui boivent.

Peu importe où se trouve le corps, l'esprit est libre d'aller ailleurs.

Mon propre sang errant vient de mon grand-père marin, qui, après avoir quitté la mer et s'installer sur le rivage, a toujours gouverné sa maison par les règles d'un navire.

Je n'aime pas la société parce que la conversation épuise mon cerveau plus que la pensée silencieuse - encore une fois, je ne peux pas tenir mon eau assez longtemps pour une conversation prolongée.

Ce n'est pas tout à fait la timidité qui me fait maintenant échouer en compagnie. Parfois, c'est un état d'esprit qui est une méditation de trois parties, qui ne libérera pas les pensées tant que leurs trains qui préposaient ne seront pas prêts à les suivre.

Le plaisir est un papillon, qui dort le jour et danse par un faux regard la nuit; Mais Joy est un papillon, qui aime étaler ses ailes dans la lumière de la nature.

J'aime donner des sous aux enfants, mais malheureusement, un homme ne peut pas faire ces choses s'il vit dans un petit village ou une ville où son visage est connu et vu tous les jours. Pour les enfants, profitez, comme je le sais à mon coût, et le rassemblerait autour de lui comme des poules autour d'un fermier quand il disperse le grain.

Quelle est cette vie si, pleine de soins, nous n'avons pas le temps de nous tenir debout et de regarder.

J'avais décidé de trouver une femme pour partager ma vie: celle qui quitterait complètement Londres et irait avec moi dans le pays vert et serait satisfait.

Ses oeuvres