La polizia non si presenta alla porta di Easy fino alla morte della terza ragazza. Los Angeles, 1956, non si era interessata al caso finché a morire nello stesso modo efferato erano state soltanto ragazze di colore. Ora che la stessa sorte è toccata a una studentessa bianca, gli agenti hanno bisogno di Easy per infiltrarsi nel quartiere e trovare il serial killer. Ma Ezekiel Rawlins rifiuta di aiutarli. Ora è padre, conduce una tranquilla vita familiare e i suoi giorni da detective sono finiti. I poliziotti se lo aspettano e usano metodi persuasivi come il ricatto, se lui non collabora, il suo migliore amico andrà in prigione. È così che Easy torna a percorrere le strade notturne di Watts e i vicoli più oscuri e contorti della mente di un astuto assassino, nel mistero più esplosivo di Easy Rawlins mai realizzato.

La farfalla bianca

The man at Charles Blakey's door has a proposition almost too strange for words. The stranger offers him $50,000 in cash to spend the summer in Charles's basement, and Charles cannot even begin to guess why. The beautiful house has been in the Blakey family for generations, but Charles has just lost his job and is behind on his mortgage payments. The money would be welcome. But Charles Blakey is black and Anniston Bennet is white, and it is clear that the stranger wants more than a basement view.
There is something deeper and darker about his request, and Charles does not need any more trouble. But financial necessity leaves him no choice. Once Anniston Bennet is installed in his basement, Charles is cast into a role he never dreamed of. Anniston has some very particular requests for his landlord, and try as he might, Charles cannot avoid being lured into Bennet's strange world. At first he resists, but soon he is tempted--tempted to understand a set of codes that has always eluded him, tempted by the opportunity to understand the secret ways of white folks.
Charles's summer with a man in his basement turns into an exploration of inconceivable worlds of power and manipulation, and unimagined realms of humanity. Walter Mosley pierces long-hidden veins of justice and morality with startling insight into the deepest mysteries of human nature

The Man In My Basement

Seymour Brathwaite, a young physicist, was found standing over the body of a murdered man. 
Charcoal Joe, one of the deadliest men in America, wants Brathwaite cleared.
Easy Rawlins, a renowned Los Angeles PI, cannot refuse Charcoal Joe.
But what links the king of the LA underworld to Seymour Brathwaite? 
And can Easy find the evidence before he gets embroiled in something much, much worse?

Charcoal Joe

IN NEW YORK, IF YOU HAVE A PROBLEM NO ONE ELSE CAN SOLVE, YOU CALL LEONID McGILL
Ex-boxer, hard drinker, in a business that trades in cash and favours, McGill's an old-school P.I. working a city that's got fancy all around him.
When McGill is approached by a small-time office manager to track down his long lost cousin, he declines the case. He can almost smell the desperation on the man. But then McGill's office is broken into, and his potential client is found dead. Soon, McGill finds himself drawn into the underbelly of an establishment family, and a Pandora's box of secrets and lies.
Taking you from the moneyed haunts of Uptown to the shady streets of Downtown, Mosley is the Chandler of Obama's America, and one of the finest crime writers in the world.

And Sometimes I Wonder About You

Dans la même veine que dans Le Vertige de la chute, Leonid McGill poursuit ici, sans illusions mais avec ténacité, ses efforts pour se racheter une conduite. Tout en menant l'enquête pour retrouver la mystérieuse Angelique à la demande du très puissant et très dangereux Alphonse Rinaldo, il joue au plus fin avec des flics vertueux ou pourris pour résoudre le mystère d'un double meurtre sanglant. Un portrait de New York qui exalte les dimensions mythiques d'une ville romanesque en diable.

Les griffes du passé

Les Griffes du passé

Dans le los angeles des années soixante, la communauté noire se nourrit des espoirs suscités par martin luther king et la présidence de kennedy.
 Mais pour elizabeth easy, vénus noire adulée de tous mais exploitée depuis 25 ans par de riches propriétaires blancs, la situation n'a guère changé.  et lorsqu'elle disparaît, c'est au privé easy rawlins de la retrouver, même si ça ne l'enchante guère. 
Rawlins va donc plonger dans les bas-fonds et les ghettos de la ville, en quête de la sensuelle black betty, qui a perdu son auréole de pureté depuis longtemps, et qui sème aujourd'hui des cadavres derrière elle.

Une nouvelle enquête d'easy rawlins le personnage d'une mort en rouge, le diable en robe bleue, et papillon blanc, qui reprend ici du service.  un retour aux affaires qui ne réjouit pas tout le monde.

Black betty

Une mort en rouge

L'idée d'être productive, l'idée de produire de nombreux livres vous amènera à devenir un écrivain de meilleur et meilleur.

Si vous voulez être écrivain, vous devez écrire tous les jours ... vous n'allez pas dans un puits une fois mais quotidiennement. Vous ne sautez pas le petit déjeuner d'un enfant ou n'oubliez pas de vous réveiller le matin.

Si vous voulez être écrivain, vous devez écrire tous les jours ... vous n'allez pas dans un puits une fois mais quotidiennement. Vous ne sautez pas le petit déjeuner d'un enfant ou n'oubliez pas de vous réveiller le matin ...

Un paysan qui lit est un prince en attente.

À une certaine époque, si vous étiez un écrivain noir, vous deviez être l'un des meilleurs écrivains au monde pour être publié. Tu devais être génial. Maintenant tu peux être bon. Médiocre. Et c'est bien.

La littérature est l'aventure. C'est l'histoire, c'est le combat, ce sont les gens qui tombent amoureux, ce sont des gens souffrant de troubles de la personnalité profonds qui réussissent de toute façon. C'est ce qu'est la grande littérature.

Susan Straight trouve le cœur secret de LA entre le paradis et ici et avec un tour de passe-passe, seuls les maîtres ont, elle crée une ruelle, un quartier, une histoire aussi riche et tragique que n'importe quel conte shakespearien.

Je ris, qu'il y a une certaine nature cyclique à la vie et que je n'ai pas à m'inquiéter parce que ce qui n'est pas là pour le moment, ça revient.

Je pense qu'il est important d'essayer de garder la réalité. Je pense que Gabriel Garcia Marquez parle beaucoup de la réalité dans son réalisme magique. Je ne pense donc pas que nous devons être hyper réalistes. Mais nous devons comprendre les pressions qui sous-tendent la vie des personnages de ce roman.

L'idée d'écrire beaucoup de livres ne fait pas de vous un grand écrivain, mais il se peut que le processus de faire beaucoup d'écriture fasse de vous un bien meilleur écrivain.

Il y a une résistance pour les gens de parler de choses qui les font se sentir coupables. Lorsque des catastrophes naturelles se produisent, il est plus facile de ne pas se sentir coupable à ce sujet.

La poésie nous enseigne la musique, la métaphore, la condensation et la spécificité.

Je dis toujours aux gens, si une jeune fille lisait "bien-aimée" comme son premier roman, elle devrait tuer elle-même ou sa mère, car en "bien-aimée", vous avez une mère qui tue leurs enfants. Ce n'est pas quelque chose qu'un enfant accepterait très facilement. Et ne comprendrait jamais.

Mon travail consiste à écrire pour que les gens puissent apprécier, puis écrire sur un monde plus large et plus profond.

J'ai toujours aimé la science-fiction. Je pense que les écrivains les plus intelligents sont des rédacteurs de science-fiction aux prises avec des choses majeures. - Entrevue Associated Press, 12-7-11

Chaque jour où nous nous réveillons est une bonne journée. Chaque souffle que nous prenons est rempli d'espoir pour une meilleure journée. Chaque mot que nous prononçons est une chance de changer ce qui est mal en quelque chose de bien.

Je n'ai jamais vraiment pensé que je réussirais. Je n'ai jamais pensé que je recevais des livres publiés, mais c'était quelque chose de complètement au-delà de moi. Le fait que cela soit arrivé est merveilleux, mais ce n'est pas quelque chose que je visais.

Les jeunes vivent exactement aujourd'hui ... et ils vivent dans l'immédiateté de leur monde. Et il est important pour nous, les gens des générations plus âgées de réaliser que beaucoup de nos valeurs, beaucoup de nos vérités ne sont plus des vérités, ne sont plus précieuses.

Reposez-vous facile et allez avec la foi avec laquelle vous avez vécu

Je suis juste un survivant de l'épave du train du monde moderne.

La vie que la plupart d'entre nous vivons sont des vies que nous sommes obligés de vivre par des besoins, des influences et des pressions immédiats.

La souris était l'amie la plus vraie que j'aie jamais eu. Et s'il y a une chose telle que le vrai mal, il était ça aussi.

Les lecteurs n'ont plus besoin de romanciers pour nous dire ce que c'est que de traverser le monde sur un navire ou de combattre une guerre. Au XXIe siècle, nous obtenons ces informations d'autres manières. Ce qui est toujours un mystère pour nous, c'est le cœur humain. Ce que nous voulons, c'est comprendre les gens, ce qu'ils font et pourquoi ils le font.

J'ai compris la peur. Et je savais mieux que quiconque dans cette pièce de quoi la souris était capable. Mais j'avais toujours été élevé dans un endroit où montrer que votre peur était pire que la lâcheté. C'était le suicide, un péché.

Mon héros dans les bandes dessinées est Jack Kirby: «Spider-Man», «Fantastic Four», «Captain America», Marvel Comics. Il était vraiment la base de Marvel Comics.

Je crois qu'un écrivain doit dire ce qu'il pense être la vérité dans une expérience humaine. La vérité de l'expérience humaine ne peut échapper au politique.

Je n'ai jamais pensé avoir sacrifié quoi que ce soit en tant qu'écrivain. Ce n'est peut-être pas vrai, peut-être que j'ai sacrifié quelque chose. Peut-être que j'ai abandonné quelque chose, mais je ne peux pas y penser.

Perdre mes parents m'a vraiment mis à la dérive à plus d'un titre. Ce n'est pas seulement les perdre. Il perd la possibilité de famille.

Ses oeuvres

Ses derniers livres