The financial advice industry -- including banks, mutual fund and insurance companies -- has a vested interest in our hard-earned savings. Industry advisors are constantly warning us that we may not be financially prepared for retirement. And, feeling anxious about our future, we become convinced that it's a good idea to let them handle our money. After all, they seem to have all the answers. But retirement planning today isn't the same as it was in the past. We're living longer, leading more active lives, with more options about how we want to live once employment is no longer the main focus. For the 1.6 million Canadians who will be retiring in the next five years, the questions at play are more complex than "How much do I need to retire?" Industry veterans Warren MacKenzie and Ken Hawkins have seen firsthand the mistakes that Canadians make in their financial preparations for the future. In The New Rules for Retirement, they offer simple, unbiased advice while at the same time debunking the many myths surrounding retirement.

New Rules Of Retirement - What Your Financial Advisor Isn't Telling You

More than ever, Canadians must rely on their investment decisions to determine their families' security and ensure their retirement. But how many investors are actually receiving unbiased, easily understandable and practical advice on their investments? Are they selecting the right level of risk? Do they know what a reasonable rate of return is in today's market? And are they making mistakes now that may compromise their future retirement plans? Warren MacKenzie has over 20 years of experience in the investment industry. Through his company, Second Opinion Investor Services Inc., he offers unbiased, straightforward check-ups for every level of investor. He's seen the common and costly investment mistakes Canadians make and the obstacles that every investor faces. Covering all aspects of financial planning, including choosing a financial advisor; market basics; measuring and controlling risk; paying less tax; and avoiding common financial pitfalls, MacKenzie offers 101 concise, action-oriented prescriptions for healthy investing. Readers will learn how to: understand an advisor's investment strategy avoid being fooled by a fund's average return make portfolio changes in keeping with the game plan understand how emotion and logic move the market realize that the buy and hold strategy isn't always right Honest, unbiased and practical, The Unbiased Advisor gives you invaluable advice on getting the most from your advisor, your investments and your money.

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Bernard [Leach] faisait des pots qui étaient des doublons de son dessin, et c'était une différence d'approche, ce qui, je pense, est assez critique pour ces deux hommes [Leach et Shoji Hamada].

Ce que je ne savais pas à l'époque [de ma bourse], c'est que la classe de céramique n'était pas vraiment une très bonne classe. Il y a de nombreuses années et ne devrait pas réfléchir aux conditions de l'Art Institute de Chicago à ce jour, mais nous ne savions rien et nous avons commencé à apprendre comment travailler avec Clay.

Les choses se produisent très rapidement et ils doivent se produire rapidement afin d'avoir la vitalité, ce qui, je pense, fait essentiellement partie d'un bon pot. Mais en plus, cela signifie que vous pouvez explorer une idée et la modifier, puis la changer puis la changer; Je ne veux pas dire par changer le pot, mais vous faites un pot, puis vous en faites un autre qui en est lié; Vous en faites un autre - vous pouvez faire 50 pots en une journée et aucun d'entre eux ne sera des copies carbone d'autrui, mais ils seront tous liés parce qu'il y a quelque chose qui vous passe par l'esprit sur la forme ce jour-là.

Nous avons déménagé ici [à St.paul avec ma femme] et avons commencé à enseigner, nous avons très rapidement découvert que nous n'étions pas équipés ni pour enseigner ou gérer notre propre poterie, et nous avons donc décidé que nous devions avoir une formation supplémentaire.

Alix [Mackenzie] avait cessé d'enseigner parce que nous avions un enfant et elle est restée à la maison pour prendre soin du bébé, et j'ai enseigné.

Je suis allé au Chicago Art Institute, qui était la meilleure école de peinture de la région à l'époque. Et j'ai suivi des cours de peinture - des cours de peinture élémentaire de base et des cours de dessin de toutes sortes.

Nous vivons avec Bernard [Leach] dans sa maison. Il avait une fantastique collection de pots en anglais et japonais et chinois et coréens et des pots allemands, un travail en anglais contemporain également. Et nous avions accès à cette collection.

Nous avons bénéficié de vivre avec [Bernard] Leach, car soudain, tous ses amis sont devenus nos connaissances.

Je pensais que j'allais pouvoir utiliser mes idées de peinture comme décoration sur la poterie, mais ma peinture ne s'est pas traduite en décoration sur la poterie. Je pensais que ça allait le faire, et en fait j'ai fait, tout en étant à l'école, une assiette avec une de mes peintures dessus, et c'est exactement ce que c'était, c'était une assiette avec une peinture dessus. Ce n'était pas une assiette décorée; C'était juste une peinture superposée à une forme en céramique tridimensionnelle.

À la fin de ces deux semaines, Bernard [Leach] nous a demandé si nous aimerions nous asseoir avec lui en attendant le four, le gros four à l'huile qu'ils avaient. Il était toujours assis ce que nous appelons une montre au four à ce moment-là, et il se demandait si nous voulions asseoir la montre avec lui et parler. Donc, naturellement, c'était notre dernière occasion de parler avec lui, alors nous avons dit oui. Nous ne savions pas que la montre de four de Bernard était de 1h00 du matin à 4h00.

Il y avait beaucoup d'artistes à St. Ives. En fait, depuis l'époque de Whistler, St. Ives a été noté comme une colonie d'artistes.

Vivre avec [Bernard] Leach, qui pensait à la poterie 24 heures sur 24, a été une expérience fantastique, et nous avons vraiment commencé à entrer dans son esprit et à comprendre ce qui l'avait motivé à travailler toute sa vie de potier.

À cette époque [de l'enfance], bien sûr, si vous étiez impliqué dans l'art, cela allait être le dessin et la peinture, car c'est la seule chose qui était enseignée dans les écoles.

Nous avons posé beaucoup de questions et nous avons regardé tous ceux qui travaillaient en studio. Et nous avons eu l'occasion de nous asseoir sur des discussions, des discussions esthétiques à la poterie, qui se sont généralement déroulées sur les pauses thé le matin et l'après-midi. Nous avons donc beaucoup appris en étant là-bas [avec Bernard Leach].

Nous pensions [avec Alix Mackenzie], si ce sont les types de pots de chaque culture qui nous intéressent, pourquoi pensons-nous que cela devrait être différent dans le milieu du nord du 20e siècle? Et nous avons alors décidé que notre travail se concentrerait sur ce genre de poterie utilitaire, et c'est ce que je fais depuis.

Nous [avec Alix Mackenzie] avait décidé que nous avions besoin d'une formation supplémentaire, et Leach était certainement celui vers lequel nous nous sommes tournés. Nous sommes donc allés en Angleterre cet été et nous avons pris des exemples de notre travail avec nous et leur avons montré Bernard Leach et lui avons dit ce que nous essayions de faire. Et bien sûr, il a jeté un coup d'œil à notre travail et il a dit - très rapidement, il a dit: "Je suis désolé, nous sommes pleins", et c'était sa façon de dire poliment, vous ne faites pas la coupe.

Ces deux professeurs [Kathleen Blackshear et Robert von Neumann] étaient tout simplement fantastiques, pensais-je. Ils ne vous ont jamais dirigé dans une seule direction, mais ils vous ont simplement encouragé à penser par vous-même.

Si vous ne saviez pas ce que vous essayiez de faire, [Robert von Neumann] ne dirait pas un mot. Il se retournait et s'éloignait. Vous avez donc très rapidement appris à penser que vous feriez mieux d'essayer de faire quelque chose dans cette classe de peinture.

En fait, lorsque Bernard [Leach] serait appelé à aller à Londres pour quelque chose et que nous vivrions seuls pendant quelques jours, nous creusons dans les zones de stockage de la maison et que nous sortirions tous les Des pots que nous pourrions ne pas voir au cours de notre vie quotidienne, car nous ne les utilisons pas régulièrement dans la maison. Mais nous avons trouvé des pots fantastiques là-bas cachés, et nous pouvions les regarder et les examiner et les gérer.

J'ai commencé à faire de l'écran de soie au début de ma formation de peinture, en raison d'une femme qui a enseigné l'histoire de l'art à l'Institut, Kathleen Blackshear. Elle était intéressée par l'écran de soie et a enseigné un cours que j'ai suivi.

[Shoji] Hamada a rarement tiré un dessin exact d'un pot qu'il allait faire.

Les [dessins] de [Shoji] Hamada étaient de petites notations d'une ligne de quelque chose dont il voulait se souvenir à propos d'un pot ou d'un meuble ou d'un paysage ou quelque chose comme ça, et ils étaient juste faits très rapidement et ils avaient, pensa-t-il, non qualité artistique. Ce ne sont pas de grands dessins, mais ils ont servi à lui rappeler quelque chose qu'il avait en tête, de sorte que lorsqu'il est ensuite allé au studio, cela resterait dans son esprit et qu'il pourrait explorer la fabrication du pot avec l'argile dessus. la roue.

J'ai été repêché dans l'armée et par pure chance, j'ai été poussé dans un magasin à écran de soie dans ce camp où j'étais, car ils ne pouvaient pas obtenir des affiches d'entraînement assez rapidement d'une source centrale à Washington, D.C. Pour imprimer des affiches de formation: comment démanteler une mitrailleuse, etc.

Lorsque nous avons terminé [de nous entraîner avec ma femme], nous sommes venus à St. Paul, parce que St. Paul était le premier endroit où nous avons obtenu une offre d'emploi et nous avions besoin d'une sorte d'emploi pour gagner de l'argent pour créer notre propre studio . Il est plutôt ironique que cette offre d'emploi soit venue à l'origine par le Walker Art Center.

Il y a quelques années, je travaillais sur certaines formes qui étaient des formes vase avec une base assez étroite, et c'est après que [Hans] Coper soit mort que j'ai vu une exposition de son catalogue d'une exposition, et il montrait quelques formes qui ont été fabriqués en coupant et en rejoignant de nombreuses parties différentes ensemble pour créer ce qu'il a appelé une forme de bêche, que vous pouvez imaginer ressemble un peu à une pelle à l'envers.

Notre principale inspiration [avec Alix Mackenzie], je pense, est venue du Field Museum of Natural History, car ils avaient des pièces qui étaient sélectionnées non pas pour le contenu artistique mais pour leur relation avec l'histoire anthropologique de l'humanité.

Lorsque Bernard [Leach] a écrit son livre, il a écrit sur le fait que même lorsque des pots sont fabriqués dans une série, il y a une personnalité à chaque pot et que la personne qui l'a fait reflète sa personnalité dans l'argile.

Nous travaillions à partir de modèles et de dimensions et de poids de l'argile très exacts pour faire ces pots qui avaient été conçus environ 10 ou 12 ans avant notre arrivée [au Bernard's Leach Studio]. Et nous, étant, je suppose que vous diriez que de jeunes Américains arrogants pensaient que nous devrions pouvoir nous exprimer un peu plus dans le travail quotidien de la poterie.

Bernard [Leach] était, comme je l'ai dit, s'entraînait en tant que peintre et graveur.

[Sculpture] Je ne suis pas resté avec moi. Je n'ai jamais senti que je voulais continuer.

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