L'histoire est connue. En Angleterre à la fin du XVIIIe siècle, Lady Susan Vernon, une veuve de trente-cinq ans, belle et intelligente, semble prête à tout pour conserver son train de vie mondain. Séjournant dans la famille de son mari, elle s'intéresse à Reginald, le jeune frère de sa belle-soeur. Celui-ci tombe sous le charme de cette femme fascinante, en dépit de sa réputation d'intrigante.
Aidée par sa meilleure amie Alicia, une Américaine en exil, Lady Susan veut également trouver un bon parti pour sa fille, Frederica, et s'efforce de la pousser dans les bras de Sir James Martin, un aristocrate riche mais pas très futé...

Après la mort de Lady Susan, son neveu, Rufus Martin-Colonna de Cesari-Rocca, décide de blanchir sa tante des calomnies dont elle a été victime. Sa cible : le récit épistolaire de Jane Austen, la « vieille fille écrivaine » - dont les quarante et une lettres, « fausses et malveillantes », sont ici reproduites en annexe comme autant de pièces à conviction.

Au terme de cet exercice d'admiration, aussi étonnant que divertissant, l'héroïne de Jane Austen - réinventée par Whit Stillman - nous apparaît désormais comme une femme décidée à s'affranchir des conventions sociales.

Amour & amitié

L'histoire est connue. En Angleterre à la fin du XVIIIe siècle, Lady Susan Vernon, une veuve de trente-cinq ans, belle et intelligente, semble prête à tout pour conserver son train de vie mondain. Séjournant dans la famille de son mari, elle s'intéresse à Reginald, le jeune frère de sa belle-sœur. Celui-ci tombe sous le charme de cette femme fascinante, en dépit de sa réputation d'intrigante.Aidée par sa meilleure amie Alicia, une Américaine en exil, Lady Susan veut également trouver un bon parti pour sa fille, Frederica, et s'efforce de la pousser dans les bras de Sir James Martin, un aristocrate riche mais pas très futé...Après la mort de Lady Susan, son neveu, Rufus Martin-Colonna de Cesari-Rocca, décide de blanchir sa tante des calomnies dont elle a été victime. Sa cible : le récit épistolaire de Jane Austen, la " vieille demoiselle auteure " –; dont les quarante et une lettres, " fausses et malveillantes ", sont ici reproduites en annexe comme autant de pièces à conviction.Au terme de cet exercice d'admiration, aussi étonnant que divertissant, l'héroïne de Jane Austen –; réinventée par Whit Stillman –; nous apparaît désormais comme une femme décidée à s'affranchir des conventions sociales.

Amour & Amitié

Manhattan, début des années 1980. En cet âge du Disco - comme il y eut un « âge du Jazz » décrit par Scott Fitzgerald - la jeunesse new-yorkaise va boire, s'amuser et danser au Club, l'endroit où il faut être. Pas n'importe quelle jeunesse, celle, diplômée et ambitieuse, qui a l'intention de conquérir la ville. Telles Alice et Charlotte, deux jolies filles employées dans l'édition, qui rencontrent un soir au Club quatre garçons frais émoulus de Harvard. Tous ceux qui ont vu le film de Whit Stillman, Les Derniers Jours du Disco, avec Chloë Sevigny et Kate Beckinsale, connaissent la suite.
Mais c'est une tout autre histoire qui est racontée dans Les Derniers Jours du Disco : le livre.
James Steinway, l'un des héros du film, danseur et publicitaire mais aussi - on le découvre - écrivain frustré, se voit proposer par la production d'écrire le roman du film. Vingt ans plus tard, il revient sur les conséquences que ces événements, à commencer par le succés du film lui-même, ont eu sur leurs vies.
Vitesse de la comédie, art des dialogues, perversité de la narration. Les Derniers Jours du Disco renverse les poncifs attachés à la littérature des années 1980. Ce n'est plus le roman jaloux des strass du cinéma, mais le cinéma qui aspire à la profondeur du roman.

Les derniers jours du disco

Whit Whitney Stillman, né le 25 janvier 1952 à Washington,, est un réalisateur américain particulièrement connu pour son film Metropolitan (1990).

Vraiment, avoir un spectacle disponible gratuitement en ligne, c'est comme avoir votre livre dans la bibliothèque. C'est merveilleux; C'est idéal.

J'aime permettre à une histoire de se produire au fur et à mesure que j'écris des scripts. Je trouve ça horrible quand j'essaie de penser à quelque chose pour l'intrigue sans vraiment être sur le terrain et voir où il va.

Je pensais que j'allais faire des films plus gros pour le public de masse. Et je voulais ça. En fait, j'avais en tête un thriller James-Boudien.

Je suis pour les gens qui s'accrochent. Je suis en train de rompre.

Donc, quelque chose que j'ai ressenti que j'ai appris avec le tournage des Cosmopolitans utilise une certaine agilité et change rapidement les choses. C'est aussi quelque chose que j'ai trouvé vraiment utile sur ce tournage. La gestation des Cosmopolitans et cela est légèrement différent de mes autres films. Le script serait fait et je le couperais, mais je n'écrivais pas toujours de nouveau matériel.

L'une des raisons pour lesquelles il est important de réaliser un nouveau projet est qu'il semble toujours améliorer la réputation de la précédente. Tout ce que vous avez fait avant est mieux que ce que vous venez de faire, apparemment. Mais j'ai dû suivre la première règle du journalisme: ne lisez jamais les commentaires.

Dans le temps de mon père - il était à l'université pendant de nombreuses transitions à la fin des années 1930 - ils avaient une grande loyauté institutionnelle ... à son collège, finalement la Marine, le Parti démocrate et certains idéaux de notre pays. Ce sont les choses qui ont été brisées avec ma génération.

Toute ma carrière, une seule personne est intervenue pour me soutenir. Tous ces gens disent qu'ils aiment vos films. Ils disent cela et ils disent cela, mais personne ne fait rien.

Au Mexique, la richesse et la pauvreté vivent côte à côte et sont cordiales les unes avec les autres - d'après mon expérience.

Ma famille était entièrement politique, tout le temps, à gauche. L'opposé de cela n'est pas d'être politique à droite. Il essaie de ne pas l'être - la politique n'est pas tout. Il y a une vie autre que la politique. La politique s'immisce.

Catégoriser les gens économiquement et les détester parce que vous pensez qu'ils sont ainsi est un préjudice.

Je pense que parfois ce sont les choses que vous n'aimez pas qui vous inspirent.

J'ai en quelque sorte mis des gens du passé sur un piédestal; Je ne pense pas, à bien des égards, que nous sommes à leur niveau.

Je suis totalement dévoué au cinéma des années 30.

Je pense que mes deux mots préférés sont «True Blue». Je pense que ces mots sont vraiment importants et leur esprit a été perdu.

Je suis très préoccupé par les pays de la Russie. Mais restez en dehors de ce genre de choses.

J'ai appris que vous devez dire que vous êtes un cinéaste. Vous n'êtes pas un scénariste; Vous n'êtes pas réalisateur pour la location. Vous devez prendre en charge. Vous êtes un cinéaste et vous allez faire un film.

Les producteurs ont tendance à vous mettre dans un pigeonhole: "Qu'est-ce que ce Preppy blanc d'âge moyen est-ce que Kingston des années 1960?"

Je trouve que c'est vraiment dérangeant de regarder beaucoup de médium dans lequel j'essaie de travailler. Je préfère faire des choses qui sont plus éloignées.

Paris est un motel de gardien pour les meilleurs journalistes américains: ils se sont enregistrés, ayant remporté la publication à l'étranger Plum, mais ne partent jamais.

Il y a de mauvaises préparations et de mauvais prêtres et de mauvais humanitaires. Tout groupe peut avoir sa mauvaise pomme.

Je pense que si vous voulez faire des films, vous devez être prêt à le faire sans frais. Vous obtenez un report, je suppose.

Vous pouvez être un Américain ou un Anglais ou un Canadien et être un Parisien. C'est une culture très admirable, et les gens veulent s'identifier à cela.

Je ne sais pas quel aurait été mon matériel si j'aurais commencé plus tôt. J'aurais probablement commencé avec des films «Damsels in Distre» parce que c'est le genre de comédie que j'écrivais à l'université. Je n'ai donc pas vraiment eu d'expérience de vie pour travailler.

Vous devez constamment travailler sur votre script s'il en a besoin. Vous n'acceptez pas: «Oh, j'ai fait un brouillon et ...» Non, il est de votre responsabilité de travailler autant que possible sur le script et de le rendre de mieux en mieux.

Sortant de l'université, retour à New York, où je ne savais pas vraiment que beaucoup de gens, je pensais que notre monde était très atomisé.

C'est terrible d'écrire ce qui est essentiellement des comédies pour les gens sans sens de l'humour. Tout le monde pense qu'ils ont le sens de l'humour, mais pas observé.

Beaucoup de gens dans l'industrie cinématographique sont des fatalistes qui pensent qu'un film valable réalisera toujours son destin, et les films qui ne vaillent pas la peine. Tout est prédéterminé, etc. Et je ne pense pas que ce soit vrai.

C'est pourquoi je déteste les contours et les traitements, car tout ce que vous obtenez, ce sont des clichés. Si vous posez des choses sur papier comme plan, il est très difficile de sortir ces idées de votre tête et de faire quelque chose de mieux.

Il est intimidant que les gars entendent les femmes se plaindre de leur petit ami. Les gars imaginent que les filles sont ravies de les avoir autour, et c'est ce dont elles parlent vraiment.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Whit_Stillman

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