Mais Shakespeare sait ce que pense le sphinx, si quelqu'un le sait. Son génie est pénétrant alors que le froid du milieu de l'hiver pénètre dans chaque pièce et fait frissonner la chaleur dans les accès de fièvre. Je pense que Shakespeare ne se trompe jamais dans sa séquence logique de caractère. Il nous surprend, nous semble contre nature, mais parce que nous avons été des observateurs superficiels ; tandis que le génie révélera les vérités auxquelles nous sommes aveugles.

L'hiver est sur la route du printemps. Certains pensent que c'est une route surment. Non. Une route primrose vers le printemps n'était pas aussi engageante dans mon cœur qu'une façon iCicée glacée surgelée par des vents forts qui ne prennent jamais les trompettes de fer de leurs lèvres.

L'hiver n'est pas une fin. C'est en transit. Il se dirige vers la faillite. Le shérif vendra son stock pour ce qu'il peut obtenir et un Ice Man sera le seul soumissionnaire à la vente.

L'hiver est impitoyable et parfois maussade et meurtrier. Le nord de l'hiver sauvage a dégluti à dix mille étés ni laissé une mousse de soleil sur ses lèvres.

La notion de poésie de l'hiver est la tragédie. Il ne sait rien de la comédie. Son rire était gelé sur ses lèvres il y a longtemps.

Franchement, le problème avec l'hiver est que c'est tout l'épine dorsale. Il est sans chair, insensible, avec ni un sein sur lequel être appuyé ni un cœur à aimer et à faire mal et, si besoin, casser, ni à la main aimable pour caresser et caresser comme une onde de mer sur un rivage ensoleillé à moitié endormi.

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