'Enchanting, often moving and sometimes hilarious' -Daily MailFull of wit, hilarity, acute observation and a deeply held sense of duty, the Queen Mother's letters give readers a vivid insight into the person behind the public face. Edited by William Shawcross, Queen: Counting One's Blessings Part 3 reveals, in the Queen Mother's own words, the woman who brought a sense of ease and fun into the public and private lives of the Royal Family. We see her delight in her beloved daughters and her real anguish when she and her husband realized that he would become King because his brother Edward VIII was determined to abdicate. We read of her work during the Second World War, and her horror at the suffering it caused, her joy in the marriage of her daughter Elizabeth, and her grief at the tragically early death of the King in 1952.'The warm personality and humour of the late, much-loved Queen Mother shines through in her letters, as does her affection for all, whether below or above stairs' - Scotsman'Recaptures her effervescent charm, and the simple fact that she was a good egg' - Spectator'How one warms to her!' - Evening Standard

Queen - The Selected Letters of Queen Elizabeth the Queen Mother: Part 3

'Enchanting, often moving and sometimes hilarious' Daily MailFull of wit, hilarity, acute observation and a deeply held sense of duty, the Queen Mother's letters give readers a vivid insight into the person behind the public face. Edited by William Shawcross, Queen Mother: Counting One's Blessings Part 4, reveals in the Queen Mother's own words, her grief at the tragically early death of the King in 1952 and her determination to rise above that terrible blow and, despite her sadness, to find a new role for herself during the long years of widowhood.'The warm personality and humour of the late, much-loved Queen Mother shines through in her letters, as does her affection for all, whether below or above stairs' Scotsman'Recaptures her effervescent charm, and the simple fact that she was a good egg' Spectator'How one warms to her!' Evening Standard

Queen Mother - The Selected Letters of Queen Elizabeth the Queen Mother: Part 4

'Enchanting, often moving and sometimes hilarious' - Daily MailFull of wit, hilarity, acute observation and a deeply held sense of duty, the Queen Mother's letters give readers a vivid insight into the person behind the public face. Edited by WIlliam Shawcross, Elizabeth: Counting One's Blessings Part 1 reveals, in the Queen Mother's own words, the much-loved little girl writing teasing letters to her many siblings and friends; here, too, is the young woman who, after a long courtship and two refusals, accepted the Duke of York's proposal.'The warm personality and humour of the late, much-loved Queen Mother shines through in her letters, as does her affection for all, whether below or above stairs' - Scotsman'Recaptures her effervescent charm, and the simple fact that she was a good egg' - Spectator'How one warms to her!' - Evening Standard

Elizabeth - The Selected Letters of Queen Elizabeth the Queen Mother: Part 1

'Enchanting, often moving and sometimes hilarious' - Daily MailFull of wit, hilarity, acute observation and a deeply held sense of duty, the Queen Mother's letters give readers a vivid insight into the person behind the public face. In Duchess of York: Counting One's Blessings Part 2, WIlliam Shawcross reveals, in the Queen Mother's own words, the young woman who, after a long courtship and two refusals, accepted the Duke of York's proposal and, as his Duchess, brought a sense of ease and fun into the public and private lives of the Royal Family. We see her delight in her beloved daughters and her real anguish when she and her husband realized that he would become King because his brother Edward VIII was determined to abdicate.'The warm personality and humour of the late, much-loved Queen Mother shines through in her letters, as does her affection for all, whether below or above stairs' Scotsman'Recaptures her effervescent charm, and the simple fact that she was a good egg' Spectator'How one warms to her!' - Evening Standard

Duchess of York - The Selected Letters of Queen Elizabeth the Queen Mother: Part 2

Elle naît avec le XXe siècle, le 4 août 1900, et meurt au XXIe, le 30 mars 2002. Elizabeth Angela Marguerite Bowes Lyon, descendante d'une très ancienne famille d'aristocrates écossais. Entre château moyenâgeux en Ecosse, manoir du sud de l'Angleterre et résidence londonienne, entre gouvernantes et préceptrices, elle vit une enfance de rêve, dans un monde que la Première Guerre mondiale va dissoudre. A vingt ans, Elizabeth est une ravissante petite personne - brune, un teint de pêche, des yeux bleu myosotis, un charme fou dont elle use en véritable comédienne. Le prince Albert, duc d'York, deuxième fils du roi George V, en tombe amoureux dès leur première rencontre. Il lui faudra néanmoins près de trois ans pour la conquérir. Dès lors, Elizabeth entre dans l'histoire de la Grande-Bretagne. Duchesse d'York, reine consort lorsque Albert devient George VI à l'abdication de son frère Edward VIII, reine mère dès 1952. La dignité, le courage, la compassion du couple royal pendant la Seconde Guerre mondiale lui valent l'amour du peuple. La reine mère survivra un demi-siècle à son mari, déployant une activité stupéfiante. Véritable commis voyageur de son pays, chacune de ses visites sera un triomphe, les foules délirent à son passage, séduites par son légendaire sourire. Qui dissimulait, au dire de plusieurs témoins, une certaine duplicité, voire de la dureté. Elle multiplie les patronages, les oeuvres caritatives, les voyages d'agrément. Assiste, désolée, aux déboires matrimoniaux de ses petits-enfants, au drame de Diana, connaît de nombreux et graves problèmes de santé, mais, jusqu'à son dernier jour, demeure curieuse du monde comme il va. William Shawcross, qui a eu accès aux archives de la famille royale et notamment à la correspondance de la reine mère, mène cette formidable biographie au galop. C'est un siècle d'histoire de l'Angleterre qui défile, avec ses premiers ministres, sa population, son aristocratie et ses châteaux, révélant une Elizabeth amoureuse, primesautière, moqueuse, mais aussi gardienne sourcilleuse de la dignité de la fonction royale... Une femme qui, comme l'ont dit ses proches, "a magnifié la vie comme personne".

Elisabeth, la reine-mère - Occasion

'Totally absorbing and highly readable account of a remarkable life .

Queen Elizabeth, the Queen Mother - The official biography

Le Village Planetaire

s/t: The story of the exile, misadventures and death of the Emperor

Le Shah: Exil Et Mort D'Un Personnage Encombrant

Il est si basique que d'être banal, mais en soulagement en cas de catastrophe, toute la bonne volonté du monde peut aller en enfer dans un panier à main si la logistique ne fonctionne pas. En Éthiopie dans le meilleur des cas, la logistique est difficile. C'est un immense pays - à peu près de la même taille que le Texas, le Nouveau-Mexique et l'Oklahoma combinés. C'est aussi un cauchemar de transport.

Les organismes de bienfaisance ne devraient pas devenir le partenaire junior de l'État providence; Qu'ils fournissent ou non les services financés par le gouvernement ou, en fait, reçoivent des subventions du gouvernement, ils doivent rester indépendants et axés sur leur mission.

Le point important était que quelles que soient les erreurs que l'Amérique avait commises [au Vietnam] "nous sommes si puissants [selon le secrétaire Kissinger] que Hanoi est tout simplement incapable de nous vaincre militairement" et doit donc finalement être obligé de faire des compromis.

Les armes de destruction massive sont la plus grande menace pour la vie sur Terre. Les armes biologiques sont souvent appelées la bombe atomique du pauvre. Saddam Hussein est le souverain qui a fait depuis des décennies l'effort illégal le plus déterminé et le plus diabolique pour les acquérir.

Écrire ou parler de la famine et la réponse du monde n'est pas très facile.

Le Cambodge n'était pas une erreur; C'était un crime. Le monde est diminué par l'expérience.

La plupart des organismes de bienfaisance musulmans sont dirigés par de bonnes personnes.

Si les fiduciaires estiment que c'est dans l'intérêt de leur organisme de bienfaisance de payer des salaires élevés pour attirer des personnes talentueuses, alors ils devraient avoir le courage de leur condamnation et expliquer leurs décisions publiquement.

Vous ne pouvez pas rendre justice aux morts. Lorsque nous parlons de rendre justice aux morts, nous parlons de représailles des dommages qui leur sont faits. Mais la rétribution et la justice sont deux choses différentes.

Ensemble, ils [le président Nixon et le secrétaire Kissinger] ont poursuivi des fins qui avaient souvent un lien ténu avec la réalité, utilisant des moyens qui n'étaient pas simplement disproportionnés mais contre-productifs et faux aux valeurs qu'ils étaient censées défendre. En fait, aucun homme n'a démontré beaucoup de confiance dans ces valeurs.

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