Ce journal, rédigé en prison par Winnie Mandela entre le 12 mai 1969 et le 14 septembre 1970, a été confisqué à sa libération, puis retrouvé 40 ans plus tard grâce à la veuve de son avocat. Winnie Mandela y décrit les conditions abominables de son incarcération qui l'ont amenée au bord du suicide, d'autant qu'elle était coupée de tout contact avec l'extérieur. Échapperont pourtant à ces mesures d'isolement les lettres qu'échangent Nelson Mandela et sa femme, transmises clandestinement, bien sûr. Ce journal et cette correspondance permettent de mieux cerner l'intelligence et la détermination de ces deux figures fortes de l'histoire du XXe siècle et de mettre en lumière le courageux combat de Winnie, souvent occulté par la célébrité de son grand homme.

Un coeur indompté - Carnets de prison et correspondances

Ce journal, rédigé en prison par Winnie Mandela entre le 12 mai 1969 et le 14 septembre 1970, a été confisqué à sa libération, puis retrouvé 40 ans plus tard grâce à la veuve de son avocat. Winnie Mandela y décrit les conditions abominables de son incarcération qui l’ont amenée au bord du suicide, d’autant qu’elle était coupée de tout contact avec l’extérieur. Échapperont pourtant à ces mesures d’isolement les lettres qu’échangent Nelson Mandela et sa femme, transmises clandestinement, bien sûr. Ce journal et cette correspondance permettent de mieux cerner l’intelligence et la détermination de ces deux figures fortes de l’histoire du XXe siècle et de mettre en lumière le courageux combat de Winnie, souvent occulté par la célébrité de son grand homme.

Un coeur indompté Carnets de prison et correspondances

Ce journal, rédigé en prison par Winnie Mandela entre le 12 mai 1969 et le 14 septembre 1970, a été confisqué à sa libération, puis retrouvé 40 ans plus tard grâce à la veuve de son avocat. 
 Winnie Mandela y décrit les conditions abominables de son incarcération qui l'ont amenée au bord du suicide, d'autant qu'elle était coupée de tout contact avec l'extérieur.
Ce journal, rédigé en prison par Winnie Mandela entre le 12 mai 1969 et le 14 septembre 1970, a été confisqué à sa libération, puis retrouvé 40 ans plus tard grâce à la veuve de son avocat. 
 Winnie Mandela y décrit les conditions abominables de son incarcération qui l'ont amenée au bord du suicide, d'autant qu'elle était coupée de tout contact avec l'extérieur. 
 Échapperont pourtant à ces mesures d'isolement les lettres qu'échangent Nelson Mandela et sa femme, transmises clandestinement, bien sûr. 
 Ce journal et cette correspondance permettent de mieux cerner l'intelligence et la détermination de ces deux figures fortes de l'histoire du XXe siècle et de mettre en lumière le courageux combat de Winnie, souvent occulté par la célébrité de son grand homme.

Un coeur indompté ; carnets de prison et correspondances avec Nelson Mandela

Vous devez tous réaliser que Mandela n'était pas le seul homme à souffrir. Il y en avait beaucoup d'autres - des centaines qui ont langui en prison et qui sont morts. De nombreux héros méconnus et inconnus de la lutte.

Ensemble, main dans la main, avec nos matchs et nos colliers, nous libérerons ce pays.

Mandela est allé en prison et il est allé là-bas en tant que révolutionnaire brûlant. Mais regardez ce qui est sorti. Mandela nous laisse tomber.

J'ai une bonne relation avec Mandela. Mais je ne suis pas le produit de Mandela. Je suis le produit des masses de mon pays et le produit de mon ennemi.

J'ai appris à faire face à la police ... pour être difficile ... pour survivre.

Les années d'emprisonnement m'ont endurci ... Quand cela se produit tous les jours de votre vie, lorsque cette douleur devient un mode de vie ... il n'y a plus rien de crainte. Il n'y a rien que le gouvernement ne m'a pas fait. Il n'y a pas de douleur que je n'ai pas connue.

La solution des problèmes de ce pays réside entre les mains noires.

Je ne veux pas d'une grande villa dans une riche banlieue aux côtés des blancs où beaucoup de mes anciens camarades choisissent de vivre. Je ne trahirais jamais mes racines de cette façon.

Je voulais être médecin à un moment donné, et je ramenais toujours des errants à la maison de l'école: des gens trop pauvres pour payer des frais ou avoir de la nourriture. Mes parents ne m'ont jamais réprimandé ou ne m'ont pas dit qu'ils avaient également été pressés.

C'est le rêve d'une femme de mener une vie normale avec sa famille.

J'étais tellement accroché par la lutte pour la liberté que rien ne nous importe tant que nous réalisons le rêve des années et des années de libération de notre peuple. Je pensais que la vie normale viendrait le lendemain.

Quand je suis né, ma mère a été très déçue. Elle voulait un fils. Je le savais dès le plus jeune âge. J'étais donc un garçon manqué.

Mon continent en sait plus sur moi que moi-même.

Il m'est apparu alors que vous deviez soit survivre à l'apartheid, soit vous deviez périr avec. Et j'ai décidé de survivre.

Je me demande souvent pourquoi j'attire autant de critiques.

Je ne suis pas le genre de personne à porter de belles fleurs et être un ornement pour tout le monde.

L'ANC n'a pas réussi à résoudre les problèmes de la majorité noire assez rapidement.

Autant que le régime raciste sud-africain est prêt à se battre avec le dernier homme, nous sommes donc déterminés à nous battre jusqu'au bout.

Ce serait une chose la plus méprisable de suggérer que je vais exploiter les pauvres pour mon gain personnel.

Le gouvernement peut devenir si élitiste et se concentrer sur les intérêts élitistes. Pour aider le gouvernement, vous devez constamment retenir son attention.

Nous parlons d'une nation arc-en-ciel - dans un pays qui reste dichotomisé entre noir et blanc. Nous devons reconnaître que l'arc-en-ciel, en fait, est toujours un rêve.

Je suis le produit des masses de mon pays et le produit de mon ennemi.

Nous aurions dû envoyer les monstres d'apartheid en prison, pas les laisser avec une amnistie.

L'une des plus grandes choses que je crains est de laisser tomber mon peuple. Je ne vivrais pas avec ce type de conscience, d'avoir laissé tomber mon peuple après avoir été brutalisé pendant si longtemps.

Les années d'emprisonnement m'ont endurci ... Quand cela se produit tous les jours de votre vie, lorsque cette douleur devient un mode de vie ... il n'y a plus rien de crainte.

Personne en vertu de la loi internationale sur le droit d'auteur n'a le droit de me représenter ou mon mari sans notre consentement. J'ai été surpris par les nombreuses personnes, en particulier les Américains, qui écrivent des livres ou vont produire des films sur la famille Mandela sans même prendre la peine de nous consulter.

Je crois en moi et à la justice que j'ai combattu toute ma vie.

Ses oeuvres

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