Der vom Hof gejagte Schäferhund Rex überzeugt die Tiere, sich der Ausbeutung und Unterdrückung durch die Menschen ein für alle Mal zu entziehen. Riesige Herden formieren sich und folgen Rex auf dem Weg nach Osten in das verheißene »gelobte Land« der Freiheit. Es kommt zu erbitterten Schlachten, aus denen die Tiere trotz hoher Verluste als Sieger hervorgehen. Aber auf dem Marsch in eine vermeintlich bessere Zukunft werden sie durch Naturgewalten und die Strapazen des Weges mehr und mehr dezimiert. Nur ein kleines Häufchen enttäuschter Vierbeiner überlebt. Desillusioniert lehnen sie sich gegen Rex und seine Gehilfen auf. 

Unter dem Eindruck der russischen Oktoberrevolution geschrieben, wird Reymonts Buch oft mit Orwells »Farm der Tiere« verglichen, ist aber mehr als 20 Jahre früher erschienen. In seinem Entstehungsland Polen fiel der Roman nach dem Zweiten Weltkrieg der Zensur zum Opfer und geriet jahrzehntelang in Vergessenheit.

Die Empörung - Eine Geschichte vom Aufstand der Tiere

Le manoir de chaque seigneur se tient sur la base de vos os, soldat, chaque champ a été saturé de votre sueur, et vous, paysan, même si vous avez travaillé vos bras jusqu'au talon, si vous avez gagné une centaine de batailles et que vous avez fidèlement donné le dernier Trop de votre sang pour votre pays, vous seriez toujours un esclave. Il n'y a pas de terre pour vous, pas de paradis, pas de refuge, pas même une niche où vous pourriez reposer votre pauvre tête. Vous êtes le dernier avant Dieu et avant les gens, le dernier.

Un paysan libre signifie la Pologne libre, car il est le fondement de sa grandeur et de son indépendance.

Ayant vingt ans, j'avais naturellement une imagination sauvage et un cœur tendre.

Ce ne sont que nos exactions de la vie qui sont terribles. Ce ne sont que nos conceptions impossibles de la beauté et du bien et de la justice qui sont terribles - parce qu'elles ne sont jamais réalisées, et en même temps elles nous empêchent de prendre la vie telle qu'elle est. C'est la véritable source de toute notre chagrin et de notre souffrance.

Une fascination irrésistible pour la mort terrifiante m'a tué à l'avance.

Tout doit suivre son propre chemin. Il faut labourer pour semer, il faut semer pour récolter, et ce qui est dérangeant doit être désherbant, comme une mauvaise herbe.

À l'âge de neuf ans, j'avais une connaissance approfondie de la littérature polonaise contemporaine ainsi que de la littérature étrangère en traduction polonaise, et j'ai commencé à écrire des poèmes en l'honneur d'une dame de trente ans. Naturellement, elle ne savait rien d'eux.

Notre devoir est de s'élever en plein jour, ouvertement, en battant les tambours. La cause pour laquelle nous sommes prêts à donner à notre cou ne craint pas la lumière, et attaquer l'ennemi par la ruse ne le conviendrait pas. Un poteau a toujours méprisé des embuscades, et Dieu nous interdit qu'il change. Nous ne manquerons pas d'avoir suffisamment de force pour vaincre nos ennemis si nous ne manquons pas d'avoir l'esprit de sacrifice et d'amour.

Un homme sans terre, c'est comme un homme sans jambes.

J'étais enivré par la poésie romantique de nos grands écrivains. J'ai organisé le monde en fonction de mon usage privé, en le regardant à travers les poèmes que j'avais dévorés.

Ses oeuvres