Ma mère était un pilier de soutien à mon père dans ses efforts de théâtre.

Vous ne pouvez pas jouer pour jouer pour gagner de l'argent. C'est tout à fait impossible jusqu'à ce que nos employés commencent à dépenser plus en billets.

J'admire Sivaji Ganesan depuis qu'il a organisé «Veerapandiya Kattabomman».

Il fut un temps où les gens avaient peur que la musique de film déplace totalement la musique classique.

Même lorsque j'ai un jeu vintage, je dessine des éléments des scénarios actuels, afin que le public moderne puisse sympathiser avec les personnages.

Le rythme était un élément très fort de la musique de KVM. Il s'appelait Udukkadi Mannan, en raison de sa large utilisation d'instruments de percussion, qui comprenait Ghata Sanjari.

Les pièces que j'ai jouées dans les années 70 ne sont pas les mêmes pièces que je joues aujourd'hui. Cependant, ce qu'ils ont en commun est un fondement solide d'une histoire et une bonne comédie saine.

Je crois au besoin de payer pour l'art. Les spectacles gratuits ne doivent pas être encouragés.

Les applaudissements du public me donnent un sommet. C'est probablement ce qui a gardé mon amour pour le théâtre intact.

J'ai fait partie du festival Margazhi même en tant que petit garçon. J'accompagnais ma mère à des concerts organisés par la Music Academy.

Bien sûr, il n'y a pas de substitut aux performances en direct.

Mon père disait que même dans les comédies, vous devriez avoir un petit «message de transport». N'en faites pas une expérience où vous oubliez jouer pendant que vous sortez.

'Vietnam Veedu' n'est rien si vous comparez les autres œuvres de Nagesh. Il est la définition de l'humour en Inde.

Si je dois avoir une autre naissance, je souhaite naître aux mêmes parents et aussi la même épouse de soutien, Sudha.

Peut-être que la musique carnatique deviendra plus numérique, car c'est une forme audio. Mais même alors, pourquoi les gens affluent-ils la saison de décembre à Madras? Parce qu'ils veulent voir l'artiste face à face.

Généralement, je voyage avec mes propres acteurs pour jouer dans différents pays.

Exprimant mon adoration pour le «Chitralaya» Gopu, la légende vivante de l'humour inducteur, est dans mon esprit depuis un certain temps maintenant. Quelle meilleure façon de le faire que de ramener son coup sur scène.

Les acteurs improvisent sur scène et aiment interagir avec le public.

Beaucoup pour qui la scène a été la rampe de lancement du cinéma a oublié leurs racines. Je n'ai pas l'intention de le faire.

C'est bien de retourner à la télévision après un long écart.

Il est bien connu que le sifflement est un grand coup de pouce et favorise un sentiment de bonheur.

En ce qui concerne Vijay Antony, il est très calculatif et est prêt à aller dans n'importe quelle mesure pour le succès du film.

Il est impossible d'être misérable et déprimé tout en sifflant.

Chaque musicien devrait annoncer le Raga et le Sahityam avant de se produire.

Les gens savaient que j'étais un disciple de Sivaji Ganesan et que je voulais honorer sa mémoire. En fait, j'ai fait un film et joué à l'adaptation de «Vietnam Veedu» et j'ai utilisé la chanson «Un Kannil Neer Vadinthal» dans le cadre de la pièce.

«Kadamban» est un film avec un message social sur la déforestation. Avec ma fille Madhuvanthi, je joue un rôle important.

J'ai toujours été un grand fan du cinéma malayalam, Sathyan en particulier. J'ai adoré leur jeu discret.

Ma première femme est toujours la scène.

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