La citation analysée
Je pense que [James] Joyce aimait parfois tromper ses lecteurs en erreur. Il m'a dit que l'histoire était comme ce jeu de salon où quelqu'un murmure quelque chose à la personne à côté de lui, qui le répète pas très distinctement à la personne suivante, et ainsi de suite jusqu'à ce que la dernière personne l'entende, ça sort complètement transformé. Bien sûr, comme il m'a expliqué, le sens dans le réveil de Finnegans est obscur parce que c'est une «pièce de nuit». Je pense aussi que, comme la vue de l'auteur, le travail est souvent flou.
Je pense que [James] Joyce aimait parfois tromper ses lecteurs en erreur. Il m'a dit que l'histoire était comme ce jeu de salon où quelqu'un murmure quelque chose à la personne à côté de lui, qui le répète pas très distinctement à la personne suivante, et ainsi de suite jusqu'à ce que la dernière personne l'entende, ça sort complètement transformé. Bien sûr, comme il m'a expliqué, le sens dans le réveil de Finnegans est obscur parce que c'est une «pièce de nuit». Je pense aussi que, comme la vue de l'auteur, le travail est souvent flou.