Jean-Luc Marion
@jeanLucMarion
En effet, le discours théologique n'offre son étrange jubilation que dans la stricte mesure qu'elle le permet et, dangereusement, exige de ce que Wokman parle au-delà de ses moyens, précisément parce qu'il ne parle pas de lui-même. D'où le danger d'un discours qui, en un sens, parle contre celui qui s'y prête. Il faut obtenir le pardon pour chaque essai en théologie. Dans tous les sens.