La citation analysée
Je vous penche sur vous, votre égal, vous offrant un miroir pour votre néant parfait, pour vos ombres qui ne sont ni la lumière ni l'absence de lumière, pour ce vide qui contemple. À tout ce que vous êtes et, pour notre langue, je ne le suis pas, j'ajoute une conscience. Je vous fais vivre votre identité suprême en tant que relation, je vous nommée et vous définissez. Vous devenez une délicieuse passivité.
Je vous penche sur vous, votre égal, vous offrant un miroir pour votre néant parfait, pour vos ombres qui ne sont ni la lumière ni l'absence de lumière, pour ce vide qui contemple. À tout ce que vous êtes et, pour notre langue, je ne le suis pas, j'ajoute une conscience. Je vous fais vivre votre identité suprême en tant que relation, je vous nommée et vous définissez. Vous devenez une délicieuse passivité.