La citation analysée
Est-ce le bûcheron, alors, qui est l'ami et l'amant du pin, se tient le plus proche et comprend le mieux sa nature? Est-ce le tannant qui l'a aboyait, ou celui qui l'a enraciné pour Turnentin, que la postérité fable aura-t-elle enfin transformé en pin? Non! Non! C'est le poète: c'est lui qui fait l'utilisation la plus vraie du pin-qui ne le caresse pas avec une hache, ni ne le chatouille avec une scie, ni ne le caresse avec un avion. . . .
Est-ce le bûcheron, alors, qui est l'ami et l'amant du pin, se tient le plus proche et comprend le mieux sa nature? Est-ce le tannant qui l'a aboyait, ou celui qui l'a enraciné pour Turnentin, que la postérité fable aura-t-elle enfin transformé en pin? Non! Non! C'est le poète: c'est lui qui fait l'utilisation la plus vraie du pin-qui ne le caresse pas avec une hache, ni ne le chatouille avec une scie, ni ne le caresse avec un avion. . . .