La citation analysée
Parce que je t'aimais mieux qu'il ne sied à un homme de dire, ça t'a énervé, et j'ai promis de jeter cette pensée de côté. Pour mettre le monde entre nous. "Adieu, je le ferai", dis-je. Si jamais, là où le trèfle blanchit Le monticule du mort, vous passez, Et aucune grande fleur à votre rencontre Commence dans l'herbe trilobée, Arrêtez-vous à l'ombrage de la pierre tombale Le cœur que vous n'avez pas agité, Et dis que le garçon qui t'aimait était celui qui a tenu parole.
Parce que je t'aimais mieux qu'il ne sied à un homme de dire, ça t'a énervé, et j'ai promis de jeter cette pensée de côté. Pour mettre le monde entre nous. "Adieu, je le ferai", dis-je. Si jamais, là où le trèfle blanchit Le monticule du mort, vous passez, Et aucune grande fleur à votre rencontre Commence dans l'herbe trilobée, Arrêtez-vous à l'ombrage de la pierre tombale Le cœur que vous n'avez pas agité, Et dis que le garçon qui t'aimait était celui qui a tenu parole.