La citation analysée
Et pourtant, j'aime une sorte de lumière, de mélodie, de parfum, de nourriture, d'étreinte quand j'aime mon Dieu; car il est la lumière, la mélodie, le parfum, la nourriture, l'embrasure de mon moi intérieur - là où est une brillance que l'espace ne peut pas contenir, un son que le temps ne peut pas emporter, un parfum qu'aucune brise ne disperse, un goût indiscret non déménagé En mangeant, un accrochage ensemble qu'aucune Sailey ne fera passer. C'est ce que j'aime quand j'aime mon Dieu.
Et pourtant, j'aime une sorte de lumière, de mélodie, de parfum, de nourriture, d'étreinte quand j'aime mon Dieu; car il est la lumière, la mélodie, le parfum, la nourriture, l'embrasure de mon moi intérieur - là où est une brillance que l'espace ne peut pas contenir, un son que le temps ne peut pas emporter, un parfum qu'aucune brise ne disperse, un goût indiscret non déménagé En mangeant, un accrochage ensemble qu'aucune Sailey ne fera passer. C'est ce que j'aime quand j'aime mon Dieu.