Thomas Boswell
@thomasBoswell
À son meilleur, l'US Open exige des drives droits, des coups de fer nets, des chipping et putting brillants et un jeu de position stratégique. Plus la patience de saint François et la volonté de Patton. Au pire, l'Open élimine la différence de capacité entre un Tom Purtzer et un Tom Watson et jette les deux dans la même prison de tirs à haut risque et à haut risque. C'est la tendance inquiétante des Opens des années 70 et 80, celle qui inquiète tout le monde dans le golf.