La citation analysée
À l'âge fabuleux des temps anciens, les appellations de Mercure, Vénus, Mars, Jupiter et Saturne ont été données aux planètes comme étant le nom de leurs principaux héros et divinités. Dans l'ère plus philosophique actuelle, il ne serait guère autorisé de recourir à la même méthode, et d'appeler Juno, Pallas, Apollo ou Minerva pour un nom pour sortir du nouveau corps céleste. . . . Je ne peux que vouloir saisir cette occasion d'exprimer mon sens de la gratitude, en donnant le nom de Georgium Sidus, à une étoile [Uranus], par laquelle (avec le respect pour nous) a commencé à briller sous son règne de bon augure.
À l'âge fabuleux des temps anciens, les appellations de Mercure, Vénus, Mars, Jupiter et Saturne ont été données aux planètes comme étant le nom de leurs principaux héros et divinités. Dans l'ère plus philosophique actuelle, il ne serait guère autorisé de recourir à la même méthode, et d'appeler Juno, Pallas, Apollo ou Minerva pour un nom pour sortir du nouveau corps céleste. . . . Je ne peux que vouloir saisir cette occasion d'exprimer mon sens de la gratitude, en donnant le nom de Georgium Sidus, à une étoile [Uranus], par laquelle (avec le respect pour nous) a commencé à briller sous son règne de bon augure.