![auteur Edith Wharton de la citation Si j'aurais pu faire le changement plus tôt, j'ose dire, je n'aurais jamais dû réfléchir aux délices littéraires de Paris ou de Londres; car la vie dans le pays est le seul État qui m'a toujours complètement satisfait, et je n'avais jamais été autorisé à le satisfaire, même pendant quelques semaines à la fois. Maintenant, je devais connaître les joies de six ou sept mois par an parmi les champs et les bois, et l'extase enfantine de cette première sortie de printemps à Mamaroneck a balayé toute agitation dans la joie profonde de la communion avec la terre.](/_next/image?url=https%3A%2F%2Fs3.eu-west-3.amazonaws.com%2Fstatic.jardin-des-citations.com%2Fauthors%2Fimages%2Fedith-wharton-HrOL9pMdVkMj4kUYY5DXj6RCykyscbYlQpWTmlp6bQCLk1uNGKxpnr17xygDvuRrWi21TIEFZJ4RjhVl51yG08lPiyT5PNacQJxYSvvBtBCQ9lZbBrRklikStZbp2Tyx.jpg&w=3840&q=100)
Edith Wharton
@edithWharton
Si j'aurais pu faire le changement plus tôt, j'ose dire, je n'aurais jamais dû réfléchir aux délices littéraires de Paris ou de Londres; car la vie dans le pays est le seul État qui m'a toujours complètement satisfait, et je n'avais jamais été autorisé à le satisfaire, même pendant quelques semaines à la fois. Maintenant, je devais connaître les joies de six ou sept mois par an parmi les champs et les bois, et l'extase enfantine de cette première sortie de printemps à Mamaroneck a balayé toute agitation dans la joie profonde de la communion avec la terre.