La citation analysée
J'aimerais croire quand je meurs que je me suis donné comme un arbre qui sède les semences à chaque printemps et ne compte jamais la perte, car ce n'est pas une perte, cela ajoute à la vie future. C'est la façon d'être de l'arbre. Fortement enraciné peut-être, mais en répandant son trésor sur le vent.
J'aimerais croire quand je meurs que je me suis donné comme un arbre qui sède les semences à chaque printemps et ne compte jamais la perte, car ce n'est pas une perte, cela ajoute à la vie future. C'est la façon d'être de l'arbre. Fortement enraciné peut-être, mais en répandant son trésor sur le vent.