Corneliu Zelea Codreanu
@corneliuZeleaCodreanu
Un leader qui accepte le financement extérieur de son mouvement est comme celui qui habitue son corps à vivre de médicaments. Dans la mesure où un organisme reçoit des médicaments, dans la même mesure il est condamné à ne pouvoir réagir par lui-même. De plus, lorsqu'il est privé du médicament, il meurt ; c'est à la merci du pharmacien ! De même, un mouvement politique est à la merci de ceux qui le financent. Ceux-ci pourraient cesser leur financement à tout moment et le mouvement, peu habitué à vivre seul, meurt.