La citation analysée
Repose donc le ciel contre la terre. L'obscurité tarn toujours sur les genoux de la forêt. En tant que mari, embrasse le corps de sa femme dans une tendresse fidèle, le sol nu et les arbres sont embrassés par la lumière immobile et haute du matin. Je ressens une douleur de désir à partager dans cette étreinte, pour être unie et absorbée. Un désir comme le désir charnel, mais dirigé vers la terre, l'eau, le ciel, et retourné par les chuchotements des arbres, le parfum du sol, les caresses du vent, l'étreinte de l'eau et de la lumière. Contenu? Non, non, non - mais rafraîchi, reposait - en attendant.
Repose donc le ciel contre la terre. L'obscurité tarn toujours sur les genoux de la forêt. En tant que mari, embrasse le corps de sa femme dans une tendresse fidèle, le sol nu et les arbres sont embrassés par la lumière immobile et haute du matin. Je ressens une douleur de désir à partager dans cette étreinte, pour être unie et absorbée. Un désir comme le désir charnel, mais dirigé vers la terre, l'eau, le ciel, et retourné par les chuchotements des arbres, le parfum du sol, les caresses du vent, l'étreinte de l'eau et de la lumière. Contenu? Non, non, non - mais rafraîchi, reposait - en attendant.