La citation analysée
La beauté, minuit, la vision meurt : Que les vents de l'aube soufflent Doucement autour de ta tête rêveuse Un tel jour de spectacle de bienvenue L'œil et le cœur battant peuvent bénir, Trouve assez notre monde mortel ; Des midis de sécheresse te trouvent nourri Par les puissances involontaires, Des nuits d'insulte te laissent passer Guidée par tout amour humain.
La beauté, minuit, la vision meurt : Que les vents de l'aube soufflent Doucement autour de ta tête rêveuse Un tel jour de spectacle de bienvenue L'œil et le cœur battant peuvent bénir, Trouve assez notre monde mortel ; Des midis de sécheresse te trouvent nourri Par les puissances involontaires, Des nuits d'insulte te laissent passer Guidée par tout amour humain.