La citation analysée
...pour la plupart des habitants du ghetto [juif de Varsovie], la nature ne vivait que dans les mémoires - il n'y avait ni parcs, ni oiseaux, ni verdure dans le ghetto - et ils souffraient de la perte de la nature comme de la douleur d'un membre fantôme, d'une amputation qui brouillait les rythmes du corps, affamait les sens et rendait les idées de base sur le monde impossibles à comprendre pour les enfants.
...pour la plupart des habitants du ghetto [juif de Varsovie], la nature ne vivait que dans les mémoires - il n'y avait ni parcs, ni oiseaux, ni verdure dans le ghetto - et ils souffraient de la perte de la nature comme de la douleur d'un membre fantôme, d'une amputation qui brouillait les rythmes du corps, affamait les sens et rendait les idées de base sur le monde impossibles à comprendre pour les enfants.