![auteur George Crabbe de la citation Dites, vous opprimez par des malheurs fantastiques, un nerf discordant qui déroute votre repos; qui appuie le canapé du duvet, tandis que les esclaves avancent avec un œil timide, pour lire le regard lointain; qui avec des prières tristes le médecin fatigué taquine, pour nommer le sans nom une maladie toujours nouvelle; qui avec une simulation de plaintes désastreuses de la patience endure, ce que la douleur réelle et cela peut guérir; comment supporteriez-vous de réellement mentir, méprisé, négligé, laissé seul pour mourir? Comment supporterais-tu pour attirer votre dernier souffle , Où tout ce qui est misérable ouvre la voie à la mort?](/_next/image?url=https%3A%2F%2Fs3.eu-west-3.amazonaws.com%2Fstatic.jardin-des-citations.com%2Fauthors%2Fimages%2Fgeorge-crabbe-8OopeA3VRQwoQzzV01MEU5owJn2W9siCOyWvZlBTba6ziMlt1TWucocYVmcZbvPJnKxuC5But3SK3yTPStVFBINQ2cHBsU6VL90pyhBSRn6gJo5qJlWeLswLk4MM1uXH.jpg&w=3840&q=100)
George Crabbe
@georgeCrabbe
Dites, vous opprimez par des malheurs fantastiques, un nerf discordant qui déroute votre repos; qui appuie le canapé du duvet, tandis que les esclaves avancent avec un œil timide, pour lire le regard lointain; qui avec des prières tristes le médecin fatigué taquine, pour nommer le sans nom une maladie toujours nouvelle; qui avec une simulation de plaintes désastreuses de la patience endure, ce que la douleur réelle et cela peut guérir; comment supporteriez-vous de réellement mentir, méprisé, négligé, laissé seul pour mourir? Comment supporterais-tu pour attirer votre dernier souffle , Où tout ce qui est misérable ouvre la voie à la mort?