La citation analysée
Lorsque nous nous rapportons à notre corps comme ayant une âme, nous nous occupons de leur beauté, de leur poésie et de leur expressivité. Notre habitude de traiter le corps comme une machine, dont les muscles sont comme des poulies et ses moteurs organes, force sa poésie sous terre, afin que nous ressentons le corps en tant qu'instrument et ne voyons sa poétique que dans la maladie.
Lorsque nous nous rapportons à notre corps comme ayant une âme, nous nous occupons de leur beauté, de leur poésie et de leur expressivité. Notre habitude de traiter le corps comme une machine, dont les muscles sont comme des poulies et ses moteurs organes, force sa poésie sous terre, afin que nous ressentons le corps en tant qu'instrument et ne voyons sa poétique que dans la maladie.