Nous radions prématurément les gens comme des échecs. Nous sommes trop impressionnés par ceux qui réussissent et bien trop dédaigneux de ceux qui échouent.
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mots unique
Difficile
Niveau de difficulté de lecture
Nous travaillons actuellement sur cette fonctionnalité. Ne vous inquiétez pas, elle sera bientôt disponible.
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@marcusLuttrell
Quand je suis entré dans la famille Perry, c'était l'une de ces offres où c'était la seule famille que j'avais. Je n'avais pas de figure paternelle qui grandissait comme ça, quelqu'un qui se souciait vraiment de moi. Le gouverneur Perry m'a appris à être un homme bon.
@neilWarnock
Quand je l'emballe, il y a beaucoup de choses à faire à Cornwall. Il y a des équipes locales décentes, comme Bodmin, que j'aimerais aller regarder.
@kimNamJoon
Lorsque G-Dragon a sorti «Heart Breaker», je m'en souviens. Les réactions au moment où cela a été libérée par opposition à «Unique en son genre» est vraiment comme le paradis et l'enfer.
@wyclefJean
Quand je rap, je peux m'exprimer d'une manière où assembler des mots est comme la poésie, et parfois il vaut mieux parler dans certaines expressions que de chanter, vous savez? Alors j'aime, j'aime rimer quand je veux exprimer certaines choses.
@snoopDogg
Quand je fais la musique que je fais, en ce qui concerne la musique reggae, j'engloutit tout l'esprit de tout cela. C'est comme quand je fais de la musique rap ou quel que soit le style de musique que je fais, je dois engloutir le personnage que je fais et donner vie à cela.
@missyElliott
Quand je suis dans le studio, j'aime être là-dedans par moi-même parce que si je suis dans la salle Mike, et que je regarde et je vois des gens parler, ou qu'ils ne hochaient pas la tête ou ne se balançaient pas à la musique, Cela me donne l'impression que ça ne sonne pas bien, ou j'aurai peur de vraiment m'ouvrir vocalement parce que je pourrais gâcher, et ils pourraient être là en riant.
@johnKeats
Quand j'ai peur de cesser d'être avant que mon stylo ait glané mon cerveau grouillant, avant que des livres hauts, en caractère, tiennent comme des riches garantissent le grain mûr complet; Quand je voyais, sur le visage de la nuit, d'énormes symboles nuageux d'une haute romance, et je pense que je ne vivrai peut-être jamais pour tracer leurs ombres, avec la main magique du hasard; Et quand je ressens, une créature équitable d'une heure, que je ne te regarderai jamais plus, je n'ai jamais de savoure La renommée du néant coule.
@jillShalvis
Quand tout le monde secoua la tête, il déboutonna sa chemise et, oh bon seigneur, en haussa les épaules, en le faisant glisser sous sa tête comme un oreiller. Ne le regarde pas, se dit-elle. Ne regarde pas - elle a regardé. Doux Jésus.
@annieDillard
Quand j'étais assez jeune, j'imaginais affectueusement que toutes les langues étrangères étaient des codes pour l'anglais. Je pensais que «chapeau», disons, était le nom réel et réel de la chose, mais que les gens d'autres pays, qui ont obstinément persisté à parler le code de leurs ancêtres, pourrait utiliser le mot «ibu», disons, pour ne pas désigner simplement le chapeau concept, mais le mot anglais «chapeau». Je ne connaissais qu'un seul mot étranger, "oui", et comme il avait trois lettres, tout comme le mot pour lequel c'était un code, il semblait, assez touché, pour confirmer ma théorie.
@stephenSpender
Quand j'ai vu des photographies d'enfants assassinées par le fasciste, je me sentais furieuse. Lorsque les partisans de Franco ont parlé des atrocités rouges, je me sentais simplement indigné que les gens devraient dire de tels mensonges. Dans le premier cas, j'ai vu des cadavres, dans le second seul mots. . . J'ai progressivement acquis une certaine horreur de la façon dont mon propre esprit fonctionnait. Il était clair pour moi qu'à moins que je ne me souciais de chaque enfant assassiné de manière impartiale, je ne me souciais pas du tout que les enfants soient assassinés.
@mattTaibbi
Quand j'ai entendu le livre (le dernier de Thomas Friedman) sortait, j'ai commencé à m'inquiéter. Entre autres choses, je savais que je serais invité à rédiger la critique. Le rapport habituel de la critique de Friedman est le 2: 1, c'est-à-dire deux mots humains pour donner un sens à chaque mot de Friedmanese. Friedman est un tel génie de l'incompétence littéraire que même ses passages les plus innocents invitent des essais longues.
@georgesStPierre
Quand je m'entraîne, j'aime prendre des congés et voler pour le musée d'histoire naturelle ou une exposition. J'adore ça. Lorsque vous connaissez votre passé, cela vous aidera avec votre avenir… c'est pourquoi la plupart de mes amis ne sont pas des combattants. La plupart de mes amis sont des nerds comme moi. C’est pourquoi j’ai du mal à trouver une petite amie. J'ai besoin de quelqu'un avec qui parler de la science. Je suis marié à mon travail en ce moment. Mais tu ne sais jamais. Un jour, je pouvais me réveiller et faire quelque chose de différent. La vie est tellement imprévisible.
@alexandraDaddario
Quand j'avais 10, 11, 12, 13, 14 ans, j'avais tellement de gens que je regardais et j'ai été tellement inspiré par toutes ces différentes personnes. C'est cool d'être dans cette position.
@williamFaulkner
Quand j'étais un garçon, j'ai appris pour la première fois à quel point de meilleurs goûts d'eau quand il s'est installé un peu dans un seau de cèdre. Refroidissement chaud, avec un faible goût comme le vent chaud de juillet dans les cèdres sent.
@jimStarlin
Lorsque les gens sont dans des temps désespérés - disons, comme être coincé au milieu d'une guerre interplanétaire de longue durée - ils saisissent tout ce qui pourrait les maintenir à flot.
@williamShakespeare
Quand le paradis pleure, pas la terre o'erflow? Si les vents ragent, pas la mer de la mer, menaçant le Welkin avec son visage grand-swoln? Et tu as une raison de cette bobine? Je suis la mer; Hark, comment ses soupirs soufflent! Elle est le Weeping Welkin, I la terre: alors ma mer doit être déplacée avec ses soupirs; Alors ma Terre avec ses larmes continues devient un déluge, débordé et noyé: pour pourquoi mes intestins ne peuvent pas cacher ses malheurs, mais comme un ivrogne, je dois les vomir. Ensuite, donnez-moi un congé, car les perdants auront de congé pour soulager leur estomac avec leurs langues amères.
@yahyaAbdulMateenIi
Quand j'y pense, je travaillais très dur l'été avant de postuler aux études supérieures. J'allais à la bibliothèque tous les jours en été. J'ai lu une pièce par jour pendant environ trois mois. Je prenais des cours d'audition et je récitais des lignes à moi-même et agissais comme mon propre partenaire de scène. Mais je m'amusais.
@evanOsnos
Lorsque j'ai vécu à Pékin en 1996, c'était une ville horizontale. Si vous vouliez sortir pour un hamburger, si vous vouliez vraiment vous faire plaisir, vous êtes allé à cet endroit appelé l'hôtel Jianguo. L'architecte l'avait fièrement décrit comme une réplique parfaite d'une auberge de vacances qu'il avait vue à Palo Alto, en Californie.
@tomStoppard
Quand j'étais journaliste à Bristol, que j'étais entre les années 1954 et 1960, le journal recevrait des billets pour quiconque s'est présenté pour jouer un concert dans la grande salle sur la route, alors j'ai vu des gens merveilleux. Les Brothers Everly, par exemple.
@rachaelStirling
En sortant à un rendez-vous, je pense qu'il y a certaines manières à l'ancienne que j'apprécie toujours. Je ne veux pas dire cela en tant que commentaire anti-féministe. Je le pense juste comme un commentaire pro-femmes. Il doit y avoir une place pour nous exister et nos différences existaient sans que l'une ne retire de l'autre.
@freddieLjungberg
Lorsque des amis viennent d'Europe, ils pensent que ça va prendre pluvieux à Seattle mais c'est beau. C'est une perle cachée. Et les gens ici respectent votre vie privée.
@jonathanDee
Je crains que ce soit ce que les gens vont penser de moi s'ils reculent en quelque sorte. Mais si cela ne vous arrivait pas, je me sentirai mieux.
@rose
Quand je suis apparu pour la première fois, les gens ne pouvaient pas comprendre si j'étais gay, hétéro, noir, blanc ou autre, et j'ai adoré ça. J'ai adoré le fait que ça fait peur aux gens.
@ettaJames
Quand je joue pour les gens, je suis moi, alors. Je suis cette petite fille qui, à l'âge de cinq ans, chantait à l'église. Ou je suis cette jeune femme de 15 ans qui voulait être adulte et voulait chanter et qui avait hâte de fumer une cigarette, tu sais?
@kylieMinogue
Quand j'ai commencé, il y avait quelque chose de presque romantique dans la notion de paparazzi. Je veux dire, ce n'était pas le cas. Ils vous poursuivaient toujours sur la route. Mais ce gars a dû mettre un film dans son appareil photo et déterminer s'il valait la peine d'appuyer sur le bouton pour prendre la photo, sinon il doit s'arrêter et changer le film. C'était donc comme cet âge de l'innocence.
@maxinePeake
Quand je vais travailler, je m'arrête souvent et je me demande comment je suis ici. Je ne veux pas dire littéralement, mais juste repenser quand j'ai eu l'idée d'être une actrice, cela semblait si irréel, si peu probable. Des gens comme moi ne sont pas devenus des actrices. Chaque nouvel emploi que j'obtiens est un choc. C'est presque comme si j'attendais d'être découvert.
@harveyPekar
Quand j'étais enfant, dans les années 40, j'étais un lecteur de bandes dessinées vorace. Et à cette époque, il y avait beaucoup de patriotisme dans les bandes dessinées. Ils s'appelaient des choses comme des «bandes dessinées américaines» ou des «bandes dessinées étoilées» ou des choses comme ça. J'ai décidé de faire un logo qui était une parodie de ces bandes dessinées, avec «American» comme premier mot.
@leonardoDicaprio
Quand j'ai commencé à jouer, je n'y pensais pas comme une carrière. J'ai toujours pensé que Hollywood était ce monde magique où une fée est descendue et a dit: «Venez vivre avec les Munchkins; Vous êtes maintenant l'un de nous. Je n'ai pas compris le concept en tant que carrière. Je pensais que j'économiserais suffisamment d'argent pour aller à l'université.
@agnethaFaltskog
Quand je vis dans le monde du luxe et de la célébrité, où je me suis retrouvé pendant une grande partie de ma vie, c'est un rôle à pied. Pas une nécessité vitale, comme c'est pour tant de gens. Je l'apprécie mais je peux voir à travers ça!
@katherinePaterson
Ce dont nous avons besoin pour réveiller les gens jusqu'à maintenant, c'est la crise de l'imagination et la souci du plus grand bien. Nous n'avons aucune idée de ce que les dix prochaines années, encore moins au cours des cinquante prochaines années, exigeront la génération à venir. Ce que nous savons, c'est qu'à moins que nous ayons un peuple préparé et désireux de rencontrer ces crises de manière créative et compassionnelle, il n'y a pas beaucoup d'espoir pour notre pauvre vieille planète.
