La citation analysée
Et veux-tu que je façonne en paroles L'amour que je te porte, trouvant des mots suffisants, Et tends la torche, tandis que les vents sont rudes, Entre nos visages, pour éclairer chacun ? - Je l'ai laissé tomber à tes pieds. Je ne peux pas apprendre à ma main à tenir mes esprits si loin de moi-même--moi--que je devrais t'apporter la preuve par des mots, de l'amour caché en moi hors de portée. Non, que le silence de ma féminité Recommande mon amour de femme à ta croyance, - Voyant que je reste invaincu, même courtisé, Et déchire le vêtement de ma vie, en bref, Par un courage des plus intrépides et sans voix, De peur qu'une touche de ce cœur exprime sa douleur.
Et veux-tu que je façonne en paroles L'amour que je te porte, trouvant des mots suffisants, Et tends la torche, tandis que les vents sont rudes, Entre nos visages, pour éclairer chacun ? - Je l'ai laissé tomber à tes pieds. Je ne peux pas apprendre à ma main à tenir mes esprits si loin de moi-même--moi--que je devrais t'apporter la preuve par des mots, de l'amour caché en moi hors de portée. Non, que le silence de ma féminité Recommande mon amour de femme à ta croyance, - Voyant que je reste invaincu, même courtisé, Et déchire le vêtement de ma vie, en bref, Par un courage des plus intrépides et sans voix, De peur qu'une touche de ce cœur exprime sa douleur.