Roger Ebert
@rogerEbert
Dans la grande majorité des films, tout est fait pour le public. Nous sommes rejetés pour rire ou pleurer, être effrayés ou soulagés; Hitchcock a qualifié les films une machine pour provoquer des émotions dans le public. Bresson (et Ozu) adoptent une approche différente. Ils considèrent et nous demandent de considérer avec eux, et d'arriver à des conclusions sur leurs personnages qui sont les nôtres. C'est le cinéma de l'empathie.