Marion D. Hanks
@marionDHanks
Non seulement notre salut éternel dépend de notre volonté et de notre capacité à pardonner des torts commis contre nous. Notre joie et notre satisfaction dans cette vie et notre vraie liberté dépendent de notre fait. Lorsque le Christ nous a dit de tourner l'autre joue, de marcher le deuxième mile, de donner notre manteau à celui qui prend notre manteau, était-ce principalement hors de considération pour l'intimidateur, la brute, le voleur? Ou était-ce pour soulager celui qui nous a permis de nous attaquer que le ressentiment et la colère nous ont exprimés?