La citation analysée
Si j’étais pendu sur la plus haute colline, mère de la mienne, ô mère de la mienne! Je sais dont l'amour me suivrait encore, mère de la mienne, ô mère de la mienne! Si j'étais noyé dans la mer la plus profonde, mère de la mienne, ô Mère O ’Mine! Je sais qui les larmes me reviendraient, mère de la mienne, ô mère de la mienne! Si j'étais damné de corps et d'âme, je sais dont les prières me feraient entier, mère de la mienne, ô mère o ’mine!
Si j’étais pendu sur la plus haute colline, mère de la mienne, ô mère de la mienne! Je sais dont l'amour me suivrait encore, mère de la mienne, ô mère de la mienne! Si j'étais noyé dans la mer la plus profonde, mère de la mienne, ô Mère O ’Mine! Je sais qui les larmes me reviendraient, mère de la mienne, ô mère de la mienne! Si j'étais damné de corps et d'âme, je sais dont les prières me feraient entier, mère de la mienne, ô mère o ’mine!