Henry Giroux
@henryGiroux
La violence, avec son économie toujours présente d'incertitude, de peur et de terreur, n'est plus simplement un effet secondaire de la brutalité policière, de la guerre ou du comportement criminel. Il est devenu fondamental pour le néolibéralisme en tant que facette particulièrement sauvage du capitalisme. Et ce faisant, il s'est avéré être central pour légitimer les relations sociales dans lesquelles les politiques et pédagogiques sont redéfinies afin de saper les possibilités de démocratie authentique.