La citation analysée
Je pousse contre l'arbre et m'enfuie, trébuchant, la nuit irréeuse jouant avec moi, la gravité tirant par le bas, derrière, au-dessus, me faisant tomber. Et je traverse un monde qui tourne, conscient du spin de la Terre, de notre planète tournoyant alors qu'elle crée par le néant, des étoiles en train de passer au-dessus, de l'incertitude de tout, même du sol, même du ciel. Mumtaz n'appelle jamais, bien que mille et une voix me crie dans mon esprit, chante, chuchotent, me narguent de folie.
Je pousse contre l'arbre et m'enfuie, trébuchant, la nuit irréeuse jouant avec moi, la gravité tirant par le bas, derrière, au-dessus, me faisant tomber. Et je traverse un monde qui tourne, conscient du spin de la Terre, de notre planète tournoyant alors qu'elle crée par le néant, des étoiles en train de passer au-dessus, de l'incertitude de tout, même du sol, même du ciel. Mumtaz n'appelle jamais, bien que mille et une voix me crie dans mon esprit, chante, chuchotent, me narguent de folie.