La citation analysée
Je suppose qu'il y a un ton mélancolique à l'arrière de l'esprit américain, un sentiment de quelque chose de perdu. Et c'est le monde perdu de Thomas Jefferson. C'est le sentiment perdu de l'innocence que nous pourrions vivre avec un état très minimal, avec un vaste sentiment d'espace dans lequel élaborer la liberté.
Je suppose qu'il y a un ton mélancolique à l'arrière de l'esprit américain, un sentiment de quelque chose de perdu. Et c'est le monde perdu de Thomas Jefferson. C'est le sentiment perdu de l'innocence que nous pourrions vivre avec un état très minimal, avec un vaste sentiment d'espace dans lequel élaborer la liberté.