La citation analysée
Je pense à l'amour de Dieu comme une grande rivière, qui se déversait à travers nous alors que les eaux coulent à travers notre ravin à la délocade. Rien ne peut empêcher cet amour de se déverser à travers nous, sauf bien sûr notre propre blocage de la rivière. Pensez-vous parfois que vous êtes arrivé à la fin de votre amour pour quelqu'un qui vous refuse et vous repulse? Une telle pensée est la folie, car on ne peut pas arriver à la fin de ce que l'on n'a pas. Nous n'avons aucune réserve d'amour. Nous ne sommes pas des cruches, nous sommes des lits de rivière.
Je pense à l'amour de Dieu comme une grande rivière, qui se déversait à travers nous alors que les eaux coulent à travers notre ravin à la délocade. Rien ne peut empêcher cet amour de se déverser à travers nous, sauf bien sûr notre propre blocage de la rivière. Pensez-vous parfois que vous êtes arrivé à la fin de votre amour pour quelqu'un qui vous refuse et vous repulse? Une telle pensée est la folie, car on ne peut pas arriver à la fin de ce que l'on n'a pas. Nous n'avons aucune réserve d'amour. Nous ne sommes pas des cruches, nous sommes des lits de rivière.